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Benjamin Leroux, Advens : une sécurité alignée sur les enjeux métier et agile est la clé du succès

janvier 2018 par Emmanuelle Lamandé

Lors de sa prochaine participation au FIC, Advens sera présent sur l’Espace Hauts de France et animera notamment une démonstration technique, visant à expliquer étape par étape la mise en place d’un SOC efficace et durable. Pour Benjamin Leroux, Innovation & Marketing, Advens, une sécurité alignée sur les enjeux métier et agile est la clé du succès.

Global Security Mag : Quel est l’objectif de votre participation au Forum International de la Cybersécurité 2018 (FIC) ?

Benjamin Leroux : Nous participons au FIC pour profiter de cet évènement désormais incontournable. Le FIC est à la fois une opportunité pour échanger avec nos prospects et clients, mais aussi une occasion pour rencontrer de nombreux candidats pour nous rejoindre. Le FIC est un lieu de partage et de rencontre dans une ville qui nous est chère ! Nous serons présents via l’Espace Hauts de France, sur un stand convivial, pour présenter nos nouveautés et les temps forts de l’année qui commence.

Nous animerons également une démonstration technique autour de mySOC. Nous ferons un focus sur le plan de surveillance, élément clé pour protéger votre SI et vos actifs numériques contre les menaces connues et inconnues.
Nous présenterons comment combiner différents dispositifs de surveillance pour construire ce plan, des règles de filtrage traditionnelles aux algorithmes de machine learning, en passant par l’exploitation des données Métier. Cette démonstration expliquera étape par étape la mise en place d’un SOC efficace et durable.

GS Mag : A l’ère de l’hyperconnexion, comment les entreprises ou les administrations peuvent-elles s’adapter pour lutter contre les cybermenaces ?

Benjamin Leroux : L’hyperconnexion est synonyme d’une dépendance encore plus importante vis-à-vis du numérique et des systèmes d’information associés. L’organisation est intégrée dans un vaste système la reliant à ses partenaires, fournisseurs, clients, etc. Il est donc essentiel que chacun prenne la mesure du risque et contribue à la sécurité de cet ensemble.
Les entreprises et organisations doivent évaluer l’importance de ces connexions, en identifier les zones de faiblesse et les protéger en conséquence. Au-delà de ses frontières, chaque organisation doit entrainer son écosystème dans un cercle vertueux où la sécurité est intégrée, contrôlée et renforcée.

GS Mag : Selon vous, l’année 2017 a t-elle permis de sensibiliser le top management aux attaques ?

Benjamin Leroux : L’année 2017 a marqué les esprits avec quelques évènements d’ampleur nationale ou internationale. Malheureusement pour les victimes, on peut citer de nombreux exemples d’organisations dont la sécurité a été mise à mal l’an dernier. Et ce dans tous les secteurs d’activité, ce qui constitue parfois une bonne raison pour sensibiliser le top management.

Avec les cryptovirus qui ont marqué l’été dernier, on a vu des entreprises déstabilisées au plus haut niveau, ce qui est un autre levier de sensibilisation.
Mais si l’entreprise a bien compris l’impact d’une crise cyber sur son bon fonctionnement, il faut désormais que chaque membre du COMEX comprenne qu’il / elle a un rôle personnel à jouer. Ce sont des utilisateurs qui sont de plus en plus ciblés et qui multiplient parfois les comportements à risque. Il faut montrer l’exemple et relayer les bons messages en interne !

GS Mag : Comment la menace va t-elle évoluer en 2018 ?

Benjamin Leroux : Nous nous attendons à d’autres crises et les premiers jours de Janvier l’ont déjà prouvé avec l’affaire Spectre / Meltdown. Et malheureusement tous les ingrédients sont réunis pour en voir survenir d’autres. L’an dernier on a vu arriver les « crypto-worm », alliant la propagation des vers et l’impact des cryptolockers. Le fait qu’ils soient pilotés par un serveur central permet de stopper son activité en tapant au bon endroit.

En 2018, il serait tout à fait possible d’imaginer un crypto-worm fonctionnant de manière décentralisé, en mixant des termes à la mode comme l’intelligence artificielle et la blockchain. Il serait alors bien plus difficile à maitriser ! Gageons que d’ici là les entreprises soient en mesure de détecter les comportements à risques, connus ou inconnus et que cela reste encore de la science-fiction.

En parallèle, la menace va continuer à s’intensifier et se spécialiser. Donc plus que jamais une sécurité alignée sur les enjeux métier et agile est la clé du succès !

GS Mag : Quel est votre message à nos lecteurs ?

Benjamin Leroux : Advens est prêt à vous accompagner pour maitriser vos risques et déployer une sécurité pleinement alignée avec les enjeux de l’ère numérique. Nos équipes évoluent depuis toujours dans le « digital ». Nous en comprenons les codes, les méthodes et les usages afin de vous proposer une solution pour intégrer la sécurité dans la transformation numérique – et non pour la freiner ou en être le grand oublié !


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