Une personne sur dix seulement a indiqué que la sauvegarde dans des environnements virtualisés n’était pas difficile.

89 % ont fait part de difficultés liées à la technologie.

En outre, l’enquête a révélé que la croissance des données restait un problème pour les responsables informatiques ayant mis en œuvre la virtualisation des serveurs. Malgré les avantages de la virtualisation, 41 % des répondants ont indiqué que celle-ci entraînait une inflation du volume des données, et 24 % ont affirmé qu’ils étaient contraints de restructurer leur environnement de stockage afin d’assurer l’interopérabilité après l’adoption de la virtualisation.

Comparées à celles de l’enquête conduite en 2010 par Quantum, les conclusions de cette édition 2012 suggèrent que :

· le nombre de responsables informatiques constatant une augmentation des besoins en énergie est en diminution (21 % au lieu de 31 % en 2010)

· La virtualisation des serveurs est de moins en moins la source de goulets d’étranglement dans leurs flux de données (22 % contre 30 % en 2010)

· les coûts logiciels pour résoudre ces problèmes ont augmenté (25 % au lieu de 22 % en 2010).

· Enfin, un responsable informatique sur quatre signale la persistance de problèmes de sauvegarde dans les filiales après passage à la virtualisation des serveurs.

« Les avantages de la virtualisation sont bien connus et un plus grand nombre d’entreprises cherchent à les étendre à leurs environnements », commente Robert Clark, vice-président senior en charge des produits de sécurisation des données chez Quantum. « Cependant, cette enquête montre que si les entreprises adoptent la virtualisation dans leur datacenter, elles rencontrent souvent des difficultés imprévues pour la sécurisation des données. Nous avons consacré l’année dernière à créer des solutions qui simplifient la sauvegarde dans les environnements virtuels ainsi que les plans de continuité informatique, de sorte que les entreprises puissent tirer pleinement parti des avantages de la virtualisation. »

En février 2012, Quantum a fait appel à Toluna pour mener une enquête auprès de 500 décideurs informatiques (375 en Amérique du Nord, 75 dans la région EMEA et 50 dans la région APAC) dans des entreprises comptant au moins 100 employés. Les répondants avaient fait l’objet d’une sélection visant à s’assurer qu’ils participaient aux décisions liées au stockage des données dans leur entreprise. Pour en savoir plus sur les résultats, les méthodologies et les données démographiques de l’enquête, rendez-vous à l’adresse : http://www.slideshare.net/secret/jBrL4RgIbow7pz.