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Michel Van Den Berghe : Les RIAMS ne s’expliquent pas, elles se vivent !

janvier 2011 par Marc Jacob

Les RIAMS, c’est la qualité des échanges, le partage d’expérience et la mise en relation le tout dans une atmosphère conviviale. Pour Michel Van Den Berghe, le fondateur des RIAMS et le Président d’Atheos, l’important est de conserver le caractère élitiste de cet événement. Ainsi, cette année encore, il limite les RIAMS, devenues les Rencontres de l’Identité de l’Audit et du Management de la Sécurité, à 18 sponsors et 170 participants. De nombreuses nouveautés seront proposées en 2011, tout en conservant la traditionnelle « nuit blanche tropézienne ». Comme il a l’habitude de le dire : Les RIAMS ne s’expliquent pas, elles se vivent !

Global Security Mag : Quelles sont les nouveautés de cette édition ?

Michel Van Den Berghe : La première nouveauté de l’édition 2011 des RIAMS est que nous avons modifié la signification de l’acronyme qui devient les Rencontres de l’Identité, de l’Audit et du Management de la Sécurité. Le motif de ce changement est que, depuis quelques années déjà, nos clients rencontrent de nouvelles problématiques et nous sollicitent dans le cadre de projets de fuite de données, de supervision de la sécurité des SI et de lutte contre la cybercriminalité. Ainsi pour la 7ème édition, nous allons proposer des ateliers consacrés à chacune de ces problématiques.

Nous ferons notamment intervenir les experts de notre filiale Audit Atlab, qui présenteront leurs retours d’expérience sur les failles rencontrées en 2010 et communiqueront leurs recommandations.

Par ailleurs, nous réaffirmons l’identité des RIAMS en ciblant exclusivement les très grands comptes français puisque nous souhaitons conserver un événement à taille humaine sans tomber dans la course à la volumétrie des salons professionnels.

D’ailleurs, je tiens à préciser qu’Atheos n’est pas une société d’événementiel et que notre seul objectif est d’apporter à la communauté des RSSI un contenu informatif et de leur permettre d’échanger avec leurs pairs.

GS Mag : Quels seront les moments forts du programme 2011 ?

Michel Van Den Berghe : Il y aura plusieurs temps forts cette année. Tout d’abord, nous allons monter un plateau télé autour de la dépérimétrisation du SI. Le principe de ce premier temps fort est d’organiser un véritable « Talk Show » animé par un RSSI qui confrontera le point de vue de trois éditeurs autour de thématiques telles que :
 L’avènement du Cloud Computing et de la virtualisation
 La cyber-surveillance
 La fuite de données

Pour le deuxième temps fort, nous proposerons aux participants d’embarquer dans la DeloRIAMS pour un voyage vers le futur et de découvrir les technologies de sécurité qui feront partie de leur quotidien dans les prochaines années, mais aussi celles qui ne resteront qu’une illusion.

Enfin, comme les années précédentes, le dernier temps fort sera la fameuse « Nuit blanche » dans la plus pure tradition Tropézienne.

GS Mag : Avez-vous cette année plus de sponsors que l’an dernier ?

Michel Van Den Berghe : Nous recevons chaque année davantage de sollicitations de sponsors pour se joindre aux RIAMS du fait de la notoriété grandissante de notre événement. Mais nous n’avons pas souhaité augmenter le nombre de sponsors et comme en 2010, 18 éditeurs seront à nos côtés.

Pour statuer sur ces demandes, nous nous appuyons sur les membres du bureau des RIAMS constitué de 9 RSSI, qui valident la pertinence des sponsors mais aussi des participants. Cette méthode nous permet de conserver le caractère privilégié et élitiste des RIAMS.

GS Mag : Quels est votre message à vos partenaires ?

Michel Van Den Berghe : La grande différence entre les autres manifestations et les RIAMS, c’est qu’il n’y a pas de partenaires derrière des stands et des clients qui leur rendent visite.

C’est au contraire des ateliers-débats qui confrontent les différents points de vue des acteurs de la sécurité qu’ils soient RSSI, DSI, éditeurs ou analystes.

En fait, les RIAMS ne s’expliquent pas, elles se vivent !


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