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Les bonnes pratiques de sauvegarde de données, selon Kiwi Backup

avril 2012 par Kiwi Backup

Kiwi Backup explique les bonnes pratiques en matière de sauvegarde de données à l’occasion des Nord IT Days.

Pourquoi sauvegarder ?

Même si tout utilisateur d’outil informatique et générateur de données, que ce soit à titre privé ou professionnel, est convaincu de la nécessité de sauvegarder ses données en cas de problème (incendie, vol ou plus simplement défaillance d’ordinateur), il n’est pas toujours facile de trouver la solution adaptée à ses besoins et son budget.

Les contraintes engendrées par l’aspect répétitif et régulier de ces actions de sauvegarde, le choix du support, l’espace de stockage nécessaire, la gestion des différentes versions des documents... sont autant de mauvaises raisons qui font que les entreprises n’utilisent pas toujours les meilleures solutions pour sauvegarder leurs données, mais s’en rendent compte souvent trop tard.

Où sauvegarder ?

Confrontées à de fortes augmentations de volumes de données, ainsi qu’à une multiplication des types de supports à sauvegarder (postes nomades, serveurs, sites distants...), les entreprises sont de plus en plus exigeantes en terme d’automatisation et de supervision des sauvegardes. Conscientes de leur besoin, elles sont demandeuses de solutions performantes, simples et modulaires. Si elles font appel à des prestataires extérieurs pour répondre à leurs besoins, elles doivent tenir compte de certains critères pour faire le meilleur choix : capacité de leur bande passante, possibilité de réaliser un pré-chargement pour la sauvegarde initiale des gros fichiers, volume de stockage nécessaire, outils de supervision disponibles....

Comment sauvegarder ?

Kiwi Backup propose une technologie qui propose entre autres les caractéristiques suivantes :
 L’incrémental octet ne traite que les fichiers modifiés et ne transfère donc que les modifications réalisées par les utilisateurs. Il en résulte un taux de transfert journalier inférieur à 1% du volume source sauvegardé.
 La déduplication à la source vérifie l’existence de fichiers en double sur l’ensemble des postes clients, même si ceux-ci ont été renommés. Grâce à cette « Green » technologie, le volume stocké et les transferts quotidiens sont limités au strict minimum.
 Le versionning permet de bénéficier d’un historique et de restaurer les fichiers dans l’état où ils se trouvaient plusieurs jours, voire semaines, auparavant.
En parallèle des aspects de sécurité et de fiabilité, ce sont autant de critères qui font la différence pour les entreprises qui ont des volumes jusqu’à 100 gigaoctet à sauvegarder.


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