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Stéphane Pacalet, Profil Technology/Bitdefender France : Venez découvrir Bitdefender GravityZone pour sécuriser les clouds hybrides

septembre 2014 par Marc Jacob

Cette année pour sa nouvelle participation aux Assises de la Sécurité, Bitdefender France présentera plus spécifiquement les dernières évolutions de Bitdefender GravityZone permettant de sécuriser des clouds hybrides et poursuivra son cycle de conférences autour de la protection de la virtualisation, avec cette année un focus particulier sur la partie VDI et DaaS.

Global Security Mag : Qu’allez-vous présenter à l’occasion des Assises de la Sécurité ?

Stéphane Pacalet : Nous présentons comme chaque année l’ensemble de nos solutions de protection antimalware pour les entreprises, que ce soit pour les environnements physiques, mobiles ou virtuels. Nous dévoilerons plus spécifiquement à cette occasion les dernières évolutions de Bitdefender GravityZone permettant de sécuriser des clouds hybrides.

GS Mag : Quel va être le thème de votre conférence cette année ?

Stéphane Pacalet : Nous poursuivons notre cycle de conférences autour de la protection de la virtualisation, avec cette année un focus particulier sur la partie VDI et DaaS. La virtualisation n’est pas homogène. En effet, la virtualisation des postes de travail est une démarche clairement différente de celle de la virtualisation des serveurs, au même titre que le cloud public et le cloud privé, bien qu’apparentés, sont des concepts différents. De la même façon, les attentes et les problématiques en matière de sécurisation de ces éléments varient. Les experts de Bitdefender feront donc un point sur les approches et technologies existantes concernant la protection de la virtualisation, dans le cadre d’un atelier sur les défis de la sécurité des VDI, le vendredi 3 octobre à 10h00.

GS Mag : Comment va évoluer votre offre pour 2014/2015 ?

Stéphane Pacalet : Nous avons fait le choix, depuis plusieurs années déjà, de nous spécialiser sur la partie antimalware afin de devenir, à la fois, un acteur de référence sur le marché et le principal fournisseur de technologies de lutte contre les codes malveillants au niveau mondial.
Nous pensons avoir atteint ces objectifs puisque Bitdefender protège désormais plus de 500 millions d’utilisateurs à travers le monde, notamment via des partenariats avec de nombreux éditeurs internationaux qui utilisent nos technologies, parmi lesquels Qihoo (Chine), Escan (Inde), Psafe (Brésil), Gdata (Allemagne), F-Secure (Finlande), Spybot (Irelande) ou encore Egedian (France), IBM (États-Unis), entre autres, Également, les résultats obtenus ces trois dernières années dans les principaux tests comparatifs internationaux viennent régulièrement conforter notre position de leader technologique.
Nous entendons poursuivre nos investissements en R&D pour conserver cette position et faire face à l’évolution des menaces, notamment dans le cadre de la problématique des APT qui nécessite la combinaison de multiples technologies (comportemental, réputation, filtrage d’URLs, corrélation d’évènements, etc).
L’offre Bitdefender couvre aujourd’hui la majeure partie des besoins de protection antimalware des entreprises, et supporte les environnements Windows, Mac OS, Linux, Solaris, FreeBSD, ou encore Android. De plus, nous proposons à l’heure actuelle, la seule solution antimalware capable de couvrir tous les hyperviseurs et systèmes virtualisés du marché. Les principales évolutions sur nos solutions seront dans la lignée des développements apportés ces derniers mois : « rapprochement » entre nos solutions cloud et on-premise, « ouverture » de nos solutions SaaS vers des solutions tierces (outils RMM principalement) et lancement de solutions pour les cloud publics (AWS actuellement).

GS Mag : Quelle sera votre stratégie commerciale pour 2014/2015 ?

Stéphane Pacalet : Nous poursuivons la stratégie commerciale, mise en place depuis 2002 au lancement de Bitdefender sur le marché français, basée sur un modèle 100% indirect. Ce modèle s’appuie sur des partenaires locaux, soutenus par nos équipes commerciales et techniques à leur disposition, à la fois, pour les accompagner sur des projets qu’ils détectent et leur apporter de nouveaux projets détectés en interne.
Parallèlement, notre stratégie commerciale vise, depuis deux ans, à accompagner le lancement de nos solutions spécifiquement conçues pour les environnements cloud et virtualisés, techniquement différenciantes et adaptées aux besoins des entreprises de toutes tailles. Par conséquent, nous avons plus particulièrement concentré nos ressources auprès de partenaires disposant de compétences techniques dans le domaine de la virtualisation et auprès de MSP.
Nous continuons par ailleurs d’accroître nos équipes, tant commerciales, qu’avant-vente ou encore marketing afin de poursuivre notre croissance sur le marché de la sécurité des entreprises, en France et dans les pays francophones. Nous avons, d’ailleurs remporté ces derniers mois des contrats importants dans des secteurs critiques comme le secteur bancaire ou encore celui de l’hébergement de données, tout en développant fortement notre présence dans les pays francophones en gagnant de nombreux contrats avec des ministères et différentes organisations publiques, entre autres.

GS Mag : Quel est votre message aux RSSI ?

Stéphane Pacalet : La tentation est parfois de se dire que l’on va gagner du temps en restant sur une solution que l’on connaît et qui a déjà fait ses preuves en interne dans un environnement donné. Cette approche est souvent la conséquence de la charge d’activité et des difficultés auxquelles doivent faire face les RSSI, que ce soit en raison de nouvelles problématiques et risques à gérer ou de la baisse de certains budgets. Pourtant, ce choix est rarement le meilleur, que ce soit d’un point de vue technique ou d’un point de vue ROI et TCO. C’est pourquoi nous les invitons à découvrir nos solutions qui visent justement à leur faire gagner du temps d’exploitation au quotidien et à réduire certains de leurs coûts, notamment dans le domaine de la virtualisation en permettant, entre autres, d’améliorer les taux de consolidation des serveurs.


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