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Sondage NetApp : La numérisation du secteur bancaire, une adhésion globale mais un manque de confiance dans le traitement des données personnelles

juillet 2021 par NetApp

Grâce à des outils numérisés de gestion bancaire toujours plus performants, les consommateurs veulent de plus en plus bénéficier du confort et de la réactivité de transactions ou de démarches financières facilitées. Afin de dresser un état des lieux sur le Vieux Continent des grandes tendances inscrites aujourd’hui dans cette dynamique, NetApp, éditeur mondial de logiciels centrés sur le Cloud et les données, vient de réaliser au cours du dernier trimestre un sondage* dans quatre pays européens représentatifs : l’Allemagne, l’Espagne, la France et le Royaume-Uni. Le double objectif de ce sondage ? Faire ressortir, à l’heure où digitalisation de l’économie ne cesse de progresser, la perception générale que le grand public a de la numérisation croissante du secteur bancaire. Mais surtout mieux analyser et comprendre comment les consommateurs appréhendent la gestion et le partage de leurs données personnelles dans de telles solutions. En s’intéressant plus particulièrement à la France, petit balayage des principales tendances ressortant de ce sondage.

• Un sondage européen commandé par NetApp démontre l’adhésion croissante du public pour les services dématérialisés du secteur bancaire basé sur l’IA et le Cloud.
• 8 Français sur 10 ont déjà recouru à des services bancaires à distance.
• En France plus qu’en Allemagne, le rapport humain entre le conseiller bancaire et l’épargnant reste privilégié pour près de 9 personnes sur 10.

Une adhésion encore disparate aux solutions financières dématérialisées
Si des pays comme l’Allemagne ou l’Espagne apparaissent les plus ouverts à la numérisation du secteur bancaire, avec par exemple près de la moitié des épargnants utilisant les services de banques en ligne, la France y est clairement à l’opposé avec seulement 2 personnes sur 10 favorables à ce type de solution 100% numérique. Cette réticence se retrouve aussi nettement auprès des fournisseurs tiers dans les paiements en ligne avec là encore une différence prononcée entre la réserve affichée de la France et l’adhésion plus large des trois autres pays de l’étude.

La France serait-elle alors beaucoup plus attachée au concept de banque traditionnelle ?

Guère plus que ses voisins en vérité, la grande majorité des sondés continuant, quel que soit le pays ciblé, d’avoir recours à ce format classique dans les services bancaires. L’écart entre la France et ses voisins se joue en réalité plutôt sur une préférence plus forte de maintenir un contact avec un conseiller bancaire, que ce soit en se rendant directement à l’agence locale ou en privilégiant des appels téléphoniques.

Un jugement encore mesuré sur la gestion et la protection des données

Pour l’ensemble des sondés, la sécurité et la confidentialité des données restent sans surprise un enjeu important dans les services financiers dématérialisés. Mais, malgré une utilisation globalement majoritaire des outils mis à disposition, la confiance n’est pas toujours au rendez-vous ! En France et en Espagne notamment, plus de 7 personnes sur 10 craignent que leurs données personnelles soient dérobées par des hackers lorsqu’elles transitent par des fournisseurs tiers de paiements en ligne ; alors qu’elles vont être un peu moins de la moitié en Allemagne.

Un début d’explication réside d’abord dans la perception et la compréhension des processus suivis. Finalement, comme dans de nombreux autres domaines, la connaissance serait le meilleur atout pour mettre fin à cette défiance. La preuve dans cette autre tendance où en Espagne, en France et au Royaume-Uni plus de la moitié des sondés affirment qu’ils utiliseraient plus souvent les services en ligne des banques s’ils en savaient plus sur leurs conditions de sécurité. Charge donc aux sociétés œuvrant dans les services de gestion des données et leur stockage dans le Cloud à contribuer aujourd’hui à mieux répondre à ces besoins et attentes des services bancaires en ligne.


*sondage réalisé du 21 au 30 avril 2021 auprès de 800 consommateurs


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