Rechercher
Contactez-nous Suivez-nous sur Twitter En francais English Language
 











Abonnez-vous gratuitement à notre NEWSLETTER

Newsletter FR

Newsletter EN

Vulnérabilités

Se désabonner

Rapport mondial sur la sobriété numérique : Les leaders technologiques au cœur de la bataille contre les pratiques informatiques impactant l’environnement

avril 2022 par Nexthink

Nexthink annonce les résultats d’un nouveau rapport mondial intitulé Quantifier l’impact environnemental de l’informatique d’entreprise. Basé sur la collecte de données de fonctionnement anonymisées sur quelques semaines issues de 3,5 millions de postes de travail disséminés à travers le monde, ce rapport Nexthink a été conçu pour étudier la façon dont les responsables informatiques peuvent contribuer à réduire leur impact environnemental et les coûts associés tout en améliorant l’expérience des collaborateurs. Il démontre que la réduction des émissions de CO2 liées à l’informatique passe par l’élimination des mauvaises habitudes d’utilisation associée à une meilleure supervision de la santé des postes de travail.

Déterminés à participer à l’élaboration d’un avenir plus durable en favorisant une meilleure sobriété numérique dans leur organisation, les clients ont plébiscité les données identifiées par Nexthink dès les premières semaines de collaboration, leur donnant ainsi une meilleure visibilité pour limiter leur empreinte carbone.

Principaux enseignements de ce rapport :

1. Remplacer les postes de travail de l’organisation uniquement en fonction des besoins réels.

Aujourd’hui, si la tendance est au renouvellement automatique et systématique du matériel après plusieurs années, quel que soit son niveau d’utilisation, les résultats du rapport démontrent que 20 % des postes de travail étudiés et renouvelés étaient toujours en parfait état de marche. Sur les 80 % dotés d’un faible score de performance, seuls 2 % étaient irrécupérables tandis que les 98 % restants pouvaient être facilement mis à niveau via l’optimisation de la RAM ou l’amélioration des performances au démarrage. En privilégiant ces options, les entreprises pourraient réaliser des économies drastiques et contribuer à réduire les émissions et les déchets électroniques mondiaux.

2. Améliorer les temps de démarrage par la vérification des applications installées et la mise à niveau des postes de travail anciens.

Selon le rapport, les postes de travail de l’échantillon analysé possédant un temps de démarrage supérieur à cinq minutes produisent plus de 450 tonnes d’émissions de CO2 par an. Ce gaspillage inutile pourrait être évité grâce au renforcement de la visibilité sur la santé des postes de travail et une meilleure compréhension de leurs usages, associées à une approche plus proactive de la résolution des problèmes informatiques courants impactant les collaborateurs.

3. Éduquer les collaborateurs sur les bonnes habitudes informatiques et renforcer les échanges avec le département IT.

Un manque de compréhension des habitudes informatiques des collaborateurs entraîne non seulement des émissions de CO2 plus élevées mais également un ralentissement des postes de travail. Rien que sur l’échantillon analysé, le rapport indique que l’utilisation régulière d’applications de jeux, de messagerie privée ou encore de streaming génère de manière cumulée 33 tonnes d’émissions de CO2 par an, soit l’équivalent selon de 300 arbres nécessaires pour les absorber par année complète. Les responsables informatiques ont ainsi la capacité d’aider leurs organisations à éviter au moins 695 kg d’émissions de CO2 hebdomadaires en formant les collaborateurs à adopter des pratiques informatiques plus écoresponsables et en éliminant les applications les plus énergivores et les moins utilisées.

« Mettre en place un environnement de travail durable est une priorité absolue pour les entreprises modernes », déclare Yassine Zaied, Directeur de la stratégie chez Nexthink. « Si de nombreuses démarches RSE se concentrent sur la réduction des emballages plastiques à usage unique et le zéro papier, elles négligent cependant les émissions quotidiennes massives générées par leur matériel informatique et leurs activités numériques. Les départements informatiques doivent à la fois mieux comprendre l’impact environnemental de l’empreinte numérique de leurs collaborateurs et renforcer leur proactivité dans la correction des dysfonctionnements informatiques générateurs de gaz à effet de serre. Des actes simples comme la mise à jour constante des logiciels, l’extinction des portables lorsqu’ils ne sont pas utilisés et la suppression des applications non essentielles peuvent contribuer à réduire les émissions et les coûts de manière drastique. Et bien que la plupart des entreprises souhaitent initier ces changements, beaucoup ont du mal à le faire efficacement sans approche ciblée. De grands changements RSE sont possibles dès lors que les organisations ont la capacité de comprendre comment les employés travaillent ainsi que les défis auxquels ils sont confrontés, et sont en mesure de réagir en conséquence. »


Voir les articles précédents

    

Voir les articles suivants