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Nouvelle étude de Juniper Networks sur le SDN et le NFV : les cadres dirigeants ne sont pas totalement prêts pour ce bouleversement numérique

juin 2016 par Juniper Networks

Juniper Networks dévoile les résultats d’une étude mondiale menée auprès de plus de 2700 responsables informatique et responsables métier. Cette étude révèle que les sociétés ne sont globalement pas prêtes à affronter l’impact que le bouleversement numérique lié au SDN et au NFV aura inévitablement sur elles.

Le nouveau rapport global de Wakefield Research et Juniper Networks :

• met en avant le fossé qui se creuse entre les collaborateurs IT et les cadres dirigeants,
• attire l’attention sur l’état de préparation - ou de non-préparation - des sociétés face au bouleversement numérique qui est déjà une réalité sur certains marchés,
• confirme la pertinence de l’investissement dans l’automatisation pour améliorer la souplesse des organisations et rester à l’avant-garde dans son secteur.

« Depuis plus de 20 ans, Juniper travaille en partenariat avec ses clients pour investir dans l’innovation des réseaux », déclare Rami Rahim, CEO de Juniper Networks. « Pour être réellement innovant, il faut cependant comprendre la valeur ajoutée que la technologie est en mesure d’offrir. Aujourd’hui plus que jamais, il est vital d’investir intelligemment dans la technologie pour conserver un avantage compétitif. Certes, le codage et la programmation ne sont pas du ressort des cadres dirigeants, mais pour diriger une société et favoriser sa croissance, il est important de privilégier une relation solide et étroite entre ceux qui définissent la stratégie de croissance et ceux qui l’exécutent. »

Équipez vos actuels et futurs responsables IT présents pour affronter le bouleversement numérique

Plus de la moitié des personnes interrogées (55% des responsables informatiques et 51% des responsables métier dans le monde, contre 64% des responsables informatique et 57% des responsables métier en France) s’attend à l’arrivée d’une innovation majeure dans les deux prochaines années sur leur marché, qu’il s’agisse d’une technologie, d’un produit ou d’un service. Les départements IT ne se sentent cependant pas prêts à gérer les changements qui les attendent.

Près d’un responsable informatique sur cinq au niveau mondial (21%) pense qu’au moins la moitié de ses collaborateurs IT ne possèdera pas les compétences nécessaires pour être efficaces dans ce contexte de bouleversement dans cinq ans. En comparaison, les responsables IT français semblent être plus confiants dans la capacité de leurs collaborateurs IT à gérer ces futurs changements. D’après le rapport, la France a déjà commencé à combler ses lacunes. Seules 13% des personnes interrogées en France déclarent que la moitié du personnel IT de leur société ne possèdera pas les compétences requises pour les tâches qui leur incomberont dans les cinq prochaines années.

Pour combler le manque de compétences qui empêche aujourd’hui les sociétés d’exploiter efficacement les opportunités liées à la révolution numérique, Juniper Networks annonce par ailleurs l’extension de son programme OpenLab à sept sites dans le monde. OpenLab propose aux clients, partenaires, universitaires et responsables économiques de participer à des ateliers consacrés à l’automatisation des réseaux, de suivre des programmes d’apprentissage et d’utiliser des ressources dédiées.

Formez et préparez vos cadres dirigeants au changement rapide qui les attend
Près de neuf personnes interrogées sur dix dans le monde (88% des responsables informatique et 84% des responsables métier, et huit sur dix en France) admettent que leur société obtiendrait de meilleurs résultats si les cadres dirigeants étaient mieux formés aux technologies.

Si l’investissement dans l’IT n’est pas suffisant, cela peut entraver l’innovation et empêcher la société de rester compétitive et de maintenir le cap face au changement qui lui est imposé. Environ la moitié des personnes interrogées (46% des responsables informatique et 50% des responsables métier) pense qu’il faudrait au moins un an à leur société pour développer un nouveau produit ou service face à la pression de la concurrence. On observe des résultats similaires en France (57% des responsables informatique et 52% des responsables métier). Du temps que les sociétés n’ont pas forcément, à la vitesse à laquelle le bouleversement se produit.

Pire encore, les infrastructures en place ralentissent la croissance des sociétés. Plus de la moitié des personnes interrogées indique que l’infrastructure IT de leur société serait probablement ou très probablement un obstacle à l’accélération du développement d’un nouveau produit ou service.

Pour rester dans la course, les sociétés doivent anticiper les changements et pour cela, repenser leur approche en matière d’informatique et investir intelligemment et durablement dans l’innovation. Un avantage compétitif a plus de chances de durer si la société reste à la pointe de l’innovation technologique.

Investissez dans l’automatisation

Pour ne pas se laisser dépasser, les sociétés doivent faire de l’investissement dans l’automatisation des réseaux une priorité. L’étude montre que les responsables informatique, ainsi que les responsables métier considèrent l’IT et l’automatisation des réseaux comme des critères essentiels de la compétitivité future de leur société.

Près de trois personnes interrogées sur quatre dans le monde et plus particulièrement en France (72% des responsables informatique et 79% des responsables métier) déclarent être très intéressées par les opportunités offertes par l’automatisation des réseaux et l’automatisation IT pour leur société. Parmi les responsables IT qui utilisent déjà la mise en réseau logicielle (SDN) ou la virtualisation des fonctions réseau (NFV), presque tous (93%) déclarent que ces technologies leur ont procuré un avantage compétitif certain sur leurs concurrents.

Au niveau international, la majorité des responsables IT déclare que la mise en œuvre de fonctions SDN dans l’infrastructure réseau présente de multiples avantages. D’après les chiffres relevés au niveau mondial, la principale amélioration obtenue avec l’adoption de la technologie SDN est l’interconnexion avec le cloud (54%). Elle est suivie par les fonctionnalités des datacenters virtuels (49%) et l’automatisation de la sécurité (46%). En comparaison, les chiffres locaux montrent que la visibilité des réseaux est la principale préoccupation des responsables informatiques français. 45% pour cent d’entre eux citent en effet la visibilité des réseaux comme le premier avantage offert par la technologie SDN. L’interconnexion avec le cloud arrive en deuxième avec 41% et les fonctionnalités des datacenters virtuels en troisième avec 39%.

« Les différences de priorités montrent qu’en France, les réseaux traditionnels sont encore considérés comme un refuge par rapport aux environnements de réseaux virtualisés. Les organisations du monde entier ont néanmoins commencé à réaliser l’avantage compétitif que peuvent leur procurer l’automatisation et la sécurité d’une connexion avec le cloud. Il reste du chemin à parcourir avant que les sociétés adoptent pleinement la virtualisation. Mais nous sommes en pleine révolution numérique et je suis convaincu que le taux d’adoption aura considérablement augmenté d’ici un an », explique Olivier Melwig, Directeur Technique Entreprises et Opérateurs, France, Juniper Networks.

Les responsables IT des sociétés ayant adopté la technologie NFV déclarent observer des avantages plus importants que prévus initialement. Au niveau international, les personnes interrogées ont tendance à déclarer majoritairement que l’adoption du NFV favorise la sécurité, le routage virtuel et l’optimisation du WAN.

L’étude mandatée par Juniper Networks a été menée par Wakefield Research sous la forme d’une enquête en ligne auprès de 2704 personnes en Australie, en Chine, en France, en Allemagne, en Inde, au Japon et au Royaume-Uni (300 personnes interrogées en France, dont 200 responsables informatique et 100 responsables métier).


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