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Les organismes de santé sont aux prises avec une surcharges de données à la suite de la pandémie

avril 2021 par Aruba, une société de HPE

Alors que les organismes de santé se sont démenés pour faire face à l’énorme augmentation du nombre de patients à la suite de la pandémie, l’année dernière a vu un changement majeur dans l’adoption de la technologie et des services numériques dans le secteur des soins. Mais à l’approche de la Journée mondiale de la santé, tous les progrès qu’ils ont réalisés dans leur transformation numérique risquent d’être balayés par le déluge de données qui en résulte.

Selon une étude menée par Aruba, une société de HPE, le secteur de la santé était l’un des plus avancés en termes d’adoption de technologies de pointe et du sentiment d’urgence à cet égard, au cours de l’année dernière. Environ trois quarts des responsables informatiques du secteur avaient commencé à mettre en œuvre des essais ou des applications dans des domaines tels que l’intelligence artificielle (IA), l’Internet des objets (IoT) et le machine learning.

Mais c’est aussi l’un des secteurs qui a le plus de mal avec les données que ces nouvelles technologies produisent. Un tiers (33 %) des responsables informatiques de la santé ont déclaré qu’il y avait trop de données pour que leurs systèmes puissent les traiter, et qu’ils ne pouvaient pas traiter les données recueillies assez rapidement pour agir (32 %).

Afin de maîtriser toutes ces données et de soutenir la transformation numérique à long terme dans le secteur, un nouvel eBook d’Aruba, intitulé « Taking healthcare to the Edge » (Amener la santé à l’Edge), définit trois domaines clés pour les organismes de santé, fournissant ainsi une feuille de route claire pour la mise en place d’un réseau adapté au futur.

Étape 1 : Traiter efficacement les données
Pour cela, les organismes de santé doivent les suivre jusqu’à la périphérie du réseau, en les collectant en temps réel à la source plutôt qu’en les transférant vers un hub centralisé. Notre étude a montré que 86 % des responsables informatiques de la santé ont jugé urgent de mettre en œuvre des systèmes intégrés pour traiter les données à la périphérie du réseau, que 71 % utilisent déjà ou testent les technologies Edge et que 74 % de ce groupe obtiennent des résultats convaincants. Il s’agit notamment d’équiper les prestataires de soins d’outils et d’applications améliorés, de garantir la disponibilité continue des données des patients de la chambre au point de soin et d’utiliser des capteurs IoT pour surveiller les données des patients en temps réel et générer des notifications d’alerte précoce au chevet des malades.

Étape 2 : Analyser les données de manière intelligente
Collecter toutes ces données est une chose, mais être capable d’agir dessus en est une autre. C’est pourquoi l’IA joue un rôle de plus en plus important pour aider à convertir des données disparates en informations pour le diagnostic, les soins aux patients et le développement pharmaceutique, mais aussi pour soutenir les équipes informatiques dans le dépannage du réseau et la résolution des problèmes afin d’éviter toute interruption coûteuse ou de nuire à l’expérience des utilisateurs. Avant même la pandémie, 74 % des responsables informatiques du secteur de la santé testaient ou exécutaient des applications d’IA sur leur réseau afin d’obtenir des informations précieuses.

Étape 3 : Stocker les données en toute sécurité
Dans un contexte d’utilisation croissante de l’IoT dans les hôpitaux et les foyers, les organismes de soins doivent faire face à des niveaux croissants de connectivité des appareils et des applications. C’est pourquoi les responsables informatiques du secteur s’inquiètent de cette situation, 61 % d’entre eux affirmant que la connexion de terminaux IoT à la périphérie rendrait leur réseau plus vulnérable. Aruba estime qu’il est essentiel que ces organisations mettent en place les bonnes solutions pour s’assurer que les données de santé, hautement sensibles, soient protégées et qu’elles maintiennent la confiance nécessaire des utilisateurs pour que le système puisse poursuivre sa transformation radicale.

Une approche de la sécurité basée sur le principe Zero Trust est une partie de la solution, mais la visibilité du réseau et l’identification des périphériques sont également essentielles. Elles permettent d’obtenir une vue d’ensemble de réseaux de plus en plus fragmentés et donnent aux équipes informatiques la possibilité d’accorder des niveaux d’accès aux données différents en fonction du périphérique ou du groupe d’utilisateurs.

« Pendant la pandémie, les organismes de soins ont accéléré leur utilisation des outils et solutions numériques par nécessité. Des approches qui n’avaient auparavant été que testées ou jamais tentées ont été déployées par manque d’alternative », explique Morten Illum, vice-président EMEA d’Aruba. « Avec les possibilités qui vont s’ouvrir grâce au vaccin et le retour à la ‘normale’, les prestataires de soins vont se trouver à un carrefour. Ils ont une formidable opportunité d’opérer des changements aujourd’hui pour fournir les services numériques fondamentalement supérieurs de demain. Mais, soit ils trouvent un moyen de maîtriser le flux d’informations entrant et sortant de leurs systèmes, soit ils risquent un retournement rapide de la dynamique ».

« C’est pourquoi il est essentiel que le secteur fasse évoluer ses capacités réseau pour s’assurer qu’il dispose de l’infrastructure et des solutions nécessaires pour prendre en charge les technologies et les expériences de nouvelle génération qui définiront la transformation numérique de leur organisation en 2021 et au-delà ».


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