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Les décideurs français résistent face aux tentatives de rançons selon le rapport Risk:Value de NTT Security

août 2019 par NTT SECURITY

Faut-il ou ne faut-il pas payer de rançon aux cyberattaquants ? Pour 75% des décideurs français la réponse est non, contre 60% en 2018 selon l’édition 2019 du rapport Risk:Value de NTT Security, branche sécurité du groupe NTT.

Sur la base des 2256 hauts décideurs non informatiques dont 200 français interrogés en 2019, NTT Security observe une stagnation dans la progression des entreprises françaises et plus largement mondiales vers un renforcement de leur cybersécurité.

Or, cette année marque un tournant majeur autour de la question des ransomwares. Seuls 25% des décideurs français reconnaissent qu’ils préféreraient verser une rançon à un pirate plutôt que d’investir dans la sécurité des données de l’entreprise contre 40% en 2018 soit une diminution de 25%.

Ce résultat va à contre-courant du constat mondial dont les résultats stagnent depuis 2018. Ainsi, au niveau monde, ce chiffre monte à 33% et même plus d’un tiers (36 %) de participants préféreraient le paiement d’une rançon plutôt que de se voir infliger une amende pour non-respect des réglementations sur la protection des données - le même chiffre qu’en 2018, ce qui montre une fois de plus un manque de progression.

« Les entreprises françaises ont enfin pris conscience qu’elles pouvaient, elles aussi, être la cible de ransomwares. La multiplication de ces derniers et le fait de constater que TOUT le monde est concerné – y compris de grandes villes américaines – a intensifié la sensibilisation à cette menace. Les organisations refusent d’être tributaires des cyberattaquants et c’est dans cette optique que les entreprises françaises se sentent prêtes à investir pour sécuriser davantage leurs données. » commente Pierre-Yves Popihn, Directeur Technique chez NTT Security.


Méthodologie de l’étude NTT Security Risk:Value 2019
Commandée par NTT Security, l’étude Risk:Value 2019 a été réalisée par Jigsaw Research en février-mars 2019. Au total, 2256 hauts décideurs non informatiques ont été interrogés en ligne dans les pays suivants : Etats-Unis, Japon, Royaume-Uni, Allemagne, Autriche, Suisse, France, Belgique, Pays-Bas, Luxembourg, Espagne, Italie, Suède, Norvège, Hong Kong, Singapour, Inde, Australie, Brésil, Chili. Les participants à l’enquête travaillent dans le développement, la stratégie, la finance, la vente, l’opérationnel, la production, les RH et le marketing. Dans leur majorité, les entreprises consultées comptent plus de 500 salariés, opérant dans 17 secteurs d’activité.
NTT Security évalue les bonnes et mauvaises pratiques en matière de cybersécurité sur une échelle de -41 à +27, reflétant les nombreux facteurs sur lesquelles les entreprises doivent se focaliser afin d’améliorer leur sécurité.


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