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Les DSI français souhaitent changer leurs pratiques d’achat en matière de sécurité informatique, selon Fortinet

juillet 2009 par Fortinet

Fortinet présente les résultats d’une étude sur les tendances en matière de sécurité informatique, réalisée auprès d’un échantillon de 600 moyennes et grandes entreprises européennes*.

Selon les résultats de l’étude, les DSI interrogés sont 81% au total et 95% en France à souhaiter virtualiser leurs solutions de sécurité informatiques.

Les DSI français sont également 99% à envisager d’opter pour la consolidation de leur solution de sécurité afin de réduire les coûts de fonctionnement et simplifier la gestion de leur sécurité informatique.

Enfin, 59% des DSI français vont davantage faire attention aux coûts d’achat des licences des solutions de sécurité informatique.

Si les personnes interrogées ont une opinion globalement positive de la virtualisation et de la consolidation de la sécurité, la volonté de changement semble toutefois significativement plus forte au sein des entreprises françaises et allemandes que chez leurs homologues britanniques. Les résultats de l’étude varient également d’un secteur d’activité à l’autre, les établissements financiers apparaissant comme les plus enclins à virtualiser leurs solutions de sécurité informatique.

La consolidation aiguise les appétits

L’étude avait notamment pour objectif d’étudier la tendance des entreprises à consolider deux fonctions de sécurité ou plus en une seule et même solution. Il était demandé aux répondants s’ils étaient susceptibles, au cours des douze prochains mois, « d’entreprendre – sous quelque forme que ce soit – un projet de consolidation de la sécurité réseau ».

 Dans leur immense majorité (90 %), les personnes interrogées ont répondu « oui ». Plus précisément, 73,5 % des entreprises ont répondu par l’affirmative au Royaume-Uni, 96,5 % en Allemagne et 99 % en France.

 Sur l’ensemble de l’échantillon, seulement 6 % des établissements financiers ont répondu par la négative, contre 15 % des entreprises du secteur de l’industrie et 10 % des entreprises du secteur du commerce, de la distribution et du transport.

Si l’effectif de l’entreprise ne semble pas constituer un critère de segmentation déterminant, les grandes entreprises expriment toutefois une volonté de consolidation de la sécurité réseau légèrement plus soutenue : on enregistre en effet 93 % de « oui » chez les entreprises de 500 à 1 000 personnes, contre 87 % pour les sociétés employant entre 250 et 500 personnes.

La « simplification de la gestion de la sécurité réseau » constitue la raison la plus fréquemment citée (34 %) pour la mise en œuvre d’un projet de consolidation de la sécurité réseau. 33 % des personnes interrogées ont également mentionné « la réduction des coûts de fonctionnement », tandis que 17 % perçoivent cette démarche comme l’opportunité de « renforcer la sécurité ».

Enseignements tirés du contexte de récession économique : la fin du modèle rigide de licence par utilisateur, la volonté d’obtenir « plus pour moins cher »…

L’étude présente également les « enseignements » que les décideurs en informatique tirent de la crise économique pour leurs décisions d’achat futures. Plus précisément, la question suivante leur était posée : « Si la récession devait se terminer demain, quelle principal enseignement pourriez-vous en tirer ? »

 La méfiance vis-à-vis des modèles de licence par utilisateur, « coûteux et rigides », s’impose comme le principal enseignement à tirer de la crise : 44 % des personnes interrogées partagent ce point de vue – et plus précisément, 59 % en France, 40 % au Royaume-Uni et 34 % en Allemagne.

 Deuxième enseignement clé, cité par 25 % de l’échantillon : « Maintenant, je sais que lors de mes prochains achats, je pourrai obtenir plus pour moins cher ». Une opinion partagée par respectivement 30 %, 27 % et 18 % des personnes interrogées en Allemagne, au Royaume-Uni et en France.

 Ce sont les entreprises du secteur de l’industrie qui se montrent les plus méfiantes vis-à-vis des modèles rigides de licence qui, pour 52 % d’entre elles, constituent la principale leçon à tirer de la récession. C’est dans le secteur des services financiers que les entreprises sont les plus nombreuses (27 %) à savoir qu’elles pourront, à l’avenir, « obtenir plus pour moins cher ».

Tendance favorable à la virtualisation de la sécurité

Enfin, l’enquête visait à mesurer les efforts menés par les entreprises pour virtualiser les fonctions « individuelles » de sécurité informatique. Indispensable pour intégrer la sécurité en bénéficiant d’une plus grande évolutivité et d’une productivité accrue, la virtualisation constitue également l’ultime étape de la mise en œuvre d’une stratégie complète de consolidation de la sécurité. Dans le cadre de l’enquête, les personnes interrogées devaient indiquer si elles avaient déjà envisagé et/ou étaient en train d’envisager la virtualisation d’une ou de plusieurs fonctions individuelles de sécurité informatique.

 81 % des personnes interrogées ont répondu « oui » - et plus précisément, 94,5 % en France, 88,5 % en Allemagne et 59,5 % au Royaume-Uni.

 Une fois encore, c’est dans le secteur des services financiers que la virtualisation suscite le plus d’intérêt avec 87 % de réponses positives.

« Les moyennes et grandes entreprises mettent en œuvre leurs stratégies de sécurité de façon plus progressive. Elles s’intéressent aux solutions de sécurité éprouvées, intégrées et directement opérationnelles, avec un seul et même objectif en tête : tirer parti de la consolidation pour accroître leurs performances, réduire leurs coûts et renforcer leur sécurité », explique Patrice Perche, Vice-Président EMEA de Fortinet. « Les résultats de notre étude confirment largement cette tendance – et ce d’autant plus que nous avons conduit cette étude dans un contexte économiquement difficile pour les entreprises européennes. Pour ces dernières, l’intelligence et l’efficacité des infrastructures de sécurité informatique constituent clairement une priorité de premier plan, tant d’un point de vue stratégique que budgétaire. »


*Méthodologie de l’étude

Intitulée Fortinet Security Consolidation Survey, l’étude a été conduite en juin 2009 par Vanson Bourne, un institut d’études de marché indépendant. L’échantillon était constitué de 600 décideurs en informatique issus d’entreprises britanniques (200), françaises (200) et allemandes (200). Toutes les entreprises interrogées employaient entre 250 et 1 000 personnes.


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