Points clés de l’étude

– L’adoption croissante du cloud, la multiplication des accès mobiles et l’augmentation du trafic sur les réseaux créent, depuis peu, une demande considérable pour l’infrastructure réseau existante
– 94 % des participants reconnaissent rencontrer des problèmes dans au moins un domaine critique de l’infrastructure informatique existante, qu’il s’agisse de problèmes de conformité, de croissance du réseau ou de connectivité
– Les entreprises de taille moyenne identifient des challenges clés qui réfrènent les investissements pour le réseau, notamment :
o la réalisation de l’étude de rentabilité et obtention du financement (62 %)
o le manque de disponibilité de solutions chez les revendeurs (48 %)
o le manque de temps pour évaluer les différentes options (58 %)

Tony Lock, analyste chez Freeform Dynamics, explique : « Ces dernières années, les organisations se sont arrangées, en ajoutant des mises à niveau isolées à leurs réseaux, en fonction de la demande. Notre recherche a montré que les entreprises ont besoin de comprendre leurs options pour s’assurer que les réseaux dont elles dépendent peuvent répondre aux demandes en croissance constante de leurs activités. »

Les problèmes essentiels représentent de réels obstacles

À propos des investissements importants dans leur infrastructure réseau, les participants de l’enquête ont cité plusieurs challenges auxquels ils sont confrontés aujourd’hui ou auxquels ils prévoient de l’être à l’avenir :

– 62 % des participants considèrent que la réalisation de l’étude de rentabilité et l’obtention du financement est actuellement un obstacle considérable à la modernisation du réseau
– 72 % admettent ne pas bien savoir à quel moment opter pour des solutions spécialisées ou des solutions génériques
– 56 % s’inquiètent de la complexité s’ils devaient abandonner les offres de gestion unifiée des menaces
– 58 % indiquent manquer de temps pour évaluer leurs besoins et explorer les possibilités
– 57 % sont inquiets du besoin perçu en ressources et compétences spécialisées
– 48 % citent un manque de disponibilité de solutions chez les revendeurs

L’opportunité pour les revendeurs

La tendance des entreprises à se tourner vers des stratégies axées sur les données se confirme, et les organisations doivent affronter les challenges qu’elles impliquent pour leur infrastructure réseau et qui n’a pas été conçue à cette fin à l’origine. Il s’agit d’une opportunité considérable pour le secteur : aider les informaticiens à comprendre les possibilités qui s’offrent à eux et expliquer les avantages des nouvelles technologies aux responsables du budget.

« La recherche montre un décalage pour les entreprises de niveau intermédiaire dont l’infrastructure informatique est presque au maximum de sa capacité, et à laquelle on demande pourtant de répondre à bon nombre de nouvelles requêtes, sans compromis sur la sécurité ou les performances. », explique le Dr Wieland Alge, VP et Directeur Général de la zone EMEA chez Barracuda Networks. « La prochaine vague d’investissement consistera à repenser l’architecture du réseau. Les revendeurs doivent passer du temps avec leurs clients pour expliquer les avantages des nouvelles technologies et ils doivent agir maintenant pour éviter de rater cette opportunité de vente. »

Principaux conseils pour les revendeurs

– Démontrer leur compréhension des challenges actuels auxquels sont confrontés les équipes informatiques des clients et aider ces clients à comprendre l’impact probable des attentes croissantes des utilisateurs finaux sur leur réseau
– Éduquer les équipes informatiques des clients sur les solutions disponibles sur le marché pour répondre à leurs besoins
– Aider les clients à établir une étude de rentabilité pour l’achat de nouvelles solutions et à obtenir l’approbation du budget en interne

À propos de l’enquête :
Freeform Dynamics a interrogé 610 directeurs/managers informatiques et commerciaux au Royaume-Uni, en France et en Allemagne en avril 2015. Tous les participants représentaient des entreprises de taille moyenne avec des effectifs allant de 25 à 5 000 employés. Les participants ont été répartis de façon égale entre les trois pays impliqués et représentaient un large éventail des secteurs de l’industrie verticale.