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Kingston partage ses 4 conseils pour bien choisir la mémoire pour les serveurs

avril 2022 par Kingston

Pour qu’un système soit optimisé au maximum, il est primordial de bien choisir la mémoire. En effet, une mémoire non adaptée pourra entrainer de mauvaises performances, des consommations d’énergies trop élevées, voire un non-fonctionnement total du serveur. C’est pourquoi, avant tout achat, il faut se demander quel type de mémoire est recommandé et quelle capacité vont être requis par le processeur, mais surtout quelle en sera l’utilisation. Par conséquent, Kingston Technology propose ses 4 conseils pour bien choisir la mémoire à utiliser pour ses serveurs.

Quelle mémoire pour quelle compatibilité ?

Avant de se lancer dans l’achat, il faut tout d’abord s’intéresser à la compatibilité entre les modules. En effet, mélanger les marques et modèles peut engendrer de graves problèmes. Aujourd’hui, il existe trois types de mémoires : UDIMM (Unbuffered DIMM), RDIMM (Registered DIMM) et LRDIMM (Load Reduced DIMM). Mais attention, même si toutes peuvent s’insérer dans les emplacements dédiés à aux mémoires, il ne faut en aucun cas les mélanger, sous peine d’entraîner une défaillance du système au démarrage de l’appareil, voire un non-démarrage total.

Quelle mémoire pour quelle utilisation ?

Toutes les mémoires, qu’il s’agisse des UDIMM, RDIMM ou LRDIMM se déclinent en une large gamme de vitesse. Si aujourd’hui les serveurs sont compatibles avec des kit DDR4 permettant d’atteindre des vitesses de 3200 MT/s, celle-ci peut varier et donc ralentir à la fois selon le processeur installé, mais aussi selon le nombre de modules installés. En effet, plus il y a de modules installés, plus le système va devoir ralentir sa fréquence d’exécution afin de pouvoir gérer la plus grande quantité de données possible, transitant d’un module à l’autre.

Quelle mémoire pour quelle configuration ?

Afin d’obtenir les meilleures performances possibles, Kingston recommande d’installer les modules requis par l’architecture de la plateforme, ce qui permet d’obtenir une configuration de mémoire équilibrée. Ne pas suivre ce conseil entraînera automatiquement une perte de performance ou une configuration de mémoire déséquilibrée.

De même, installer des modules à faible capacité peut engendrer trois autres problèmes, qu’il s’agisse d’évolutivité, de consommation d’énergie ou de performances. En effet, si des modules à faible capacité sont installés, il faudra d’abord les désinstaller avant d’en remettre des plus puissants. D’autre part, plus il y aura de modules installés, et plus la consommation d’énergie sera forte ; enfin, il ne faut pas oublier que plus la mémoire sera remplie et donc saturée, et plus sa vitesse diminuera.

Quelle mémoire pour quelle application ?

Le budget est un élément important et il faut en avoir conscience avant tout achat. En effet, opter pour une mémoire premier prix ne permettra pas de faire des économies, puisqu’elles sont généralement moins résistantes. Elles peuvent impliquer plus de maintenance, voire un remplacement plus rapide qu’une autre un peu plus onéreuse.

De même, avant l’achat, il faut s’intéresser aux besoins de l’application utilisant la mémoire. En effet, si celle-ci est gourmande en capacité, il faudra opter plutôt vers une RDIMM ou une LRDIMM. Par ailleurs, si elle est sensible à la bande passante, il faudra d’abord observer le processeur et compter le nombre de canaux de mémoire présents afin de s’y référer : si la plateforme comporte 8 canaux, il sera recommandé d’installer des modules par groupes de huit afin de bénéficier des meilleures performances.


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