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Eva Chen, CEO de Trend Micro : Le Cloud va « humaniser » l’IT

octobre 2010 par Marc Jacob

Eva Chen, une des rares femmes CEO d’un grande entreprise dans le domaine de la sécurité est venu pour fêter les 10 ans des Assises de la Sécurité. Lors de son intervention, elle a démontré que l’avènement du Cloud va rendre l’IT plus proche du système de pensée humain.

Eva Chen, le CEO de Trend Micro, est venue fêter les 10 ans des Assises de la Sécurité au côté de tous les professionnels de la sécurité. EN effet, cette édition a rénu plus d’une centaine de sponsors et près de 1500 professionnels : RSSI, DSI, Avocats, Consultants, intégrateurs et bien sûr fournisseurs.

Après un rapide message de bienvenue de Gérard Rio, le fondateur de cet événement, Eva Chen a débuté son intervention. Elle a tout d’abord présenté Trend Micro, en rappelant que son entreprise est forte de 4350 personnes dont 1000 personnes au sein des TrendLabs pour l’analyse des virus. Par la suite, elle a comparé le SI aux deux hémisphères du cerveau humain dont un des côté est celui du penchant rationnel et le gauche celui des émotions.

Eva Chen a rappelé que jusqu’à présent l’informatique n’avait pris en compte que le côté droit donc celui de la rationalisation. C’est ce qui expliquerait en partie certains types de problèmes. Par contre, le Cloud intégrerait selon elle le côté gauche du cerveau donc celui des émotions. En effet, pour Eva Chen, le Cloud n’est pas une simple innovation, mais une transformation radicale de l’IT qui va permettre aux usagers d’utiliser n’importe quel device pour se connecter aux informations dont ils ont besoin. De plus, le Cloud va faire gagner du temps aux utilisateurs finaux grâce à des temps de connexion plus rapide et moins de perte de temps du au chargement de mise à jour sur le poste client. Cependant, le passage au Cloud pose de nombreux problèmes de sécurité qu’elle a rappelé :

 Sécurité de la virtualisation,
 Partage de données
 Fuite de données…

Pour tous ces problèmes elle a souligné que Trend Micro avait des solutions dans son portefeuille de produits : DLP, chiffrement, sécurité de la virtualisation et bien sûr son offre d’anti-malware.

Elle a rappelé que le Web est un concept global totalement interconnecté. Elle a ainsi cité plusieurs exemples d’attaques récentes dont « l’Italian Job » un virus polymorphe qui avait infecté de très nombreuses machines en Italie. En fait, le serveur qui avait été utilisé se trouvait à Hong-Kong mais le pirate qui avait conçu se malware habitait les Etats-Unis. Aujourd’hui, les entreprises doivent s’appuyer pour se protéger sur des entreprises ayant une large palette de solutions qui permet uen couverture globale des risques. C’est aussi pour cela que Trend Micro a conclu des partenariats stratégies avec de nombreux spécialistes de taille mondiale comme IBM, Qualys, Cisco, HP… D’ailleurs, elle a rappelé que Trend Micro se trouvait en haut à droite de nombre Magic Quadrant dont celui de NSS Labs.


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