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Etude Venafi : 70 % des professionnels de la sécurité estiment que les autorités doivent réglementer la collecte de données sur les réseaux sociaux

mai 2018 par Venafi

Venafi® rend publics les résultats d’une enquête menée auprès de 512 professionnels de la sécurité présents à l’édition 2018 de la RSA Conference. Cette enquête a croisé leurs opinions sur la cybersécurité, les menaces pesant sur la vie privée et les réglementations officielles.

70 % des participants à cette enquête estiment que les autorités doivent réglementer la collecte des données à caractère personnel par les réseaux sociaux afin de protéger la vie privée de leurs utilisateurs. Pourtant, ils sont aussi 72 % à affirmer que les pouvoirs publics cernent mal l’incidence des menaces sur la confidentialité des données au format digital.

« Ces résultats sont déroutants », précise Kevin Bocek, vice president of security strategy and threat intelligence chez Venafi. « Si les professionnels de la sécurité s’accordent à penser que les subtilités de la protection de la vie privée sur les réseaux sociaux échappent à nos représentants officiels, ils comptent néanmoins sur eux pour réglementer des technologies qui envahissent notre quotidien. »

En outre, 74 % des participants à l’enquête sont convaincus que le paysage actuel des cybermenaces est mal compris des pouvoirs publics. Malgré leur défiance à leur égard, près de la moitié (45 %) estiment que les autorités devraient être à même d’imposer aux sociétés privées des portes dérobées dans le chiffrement.
Kevin Bocek conclut en ces termes : « Il est décourageant de constater qu’autant de professionnels de la sécurité pensent que des portes dérobées dans le chiffrement renforceront en quelque sorte notre sécurité. Il ne fait aucun doute que celles-ci fragiliseront la mondialisation de notre économie et rendront les communications digitales nettement plus vulnérables. Puisqu’une porte dérobée sera forcément extrêmement lucrative, les cybercriminels ne ménageront pas leur peine pour s’en emparer. Et ensuite, nul doute qu’elle sera accessible aux plus offrants sur le dark web. »


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