Etude - SailPoint - 71% des entreprises déclarent ne pas être complètement équipées pour protéger leurs données non structurées
août 2017 par SailPoint
Les menaces informatiques sont en constante évolution, protéger les données sensibles contre le piratage et pallier les failles des systèmes informatiques n’est pas aussi simple que de mettre un cadenas sur le verrou d’une porte.
Or, l’enquête Market Pulse de SailPoint publiée en 2017 démontre que les menaces sont encore sous-estimées, l’étude révèle en effet que 71% des entreprises déclarent ne pas être complètement équipées pour protéger leurs données non structurées.
La sécurité des données non structurées (exemple : documents, emails, fichiers PDF) est devenue plus qu’une priorité. Comme la gouvernance des identités et la gouvernance de l’accès aux données, elles sont essentielles pour la gestion et la sauvegarde des données organisationnelles sensibles qui se situent dans des fichiers de données non structurés.
Aujourd’hui, avec le développement du cloud, de la mobilité et des frontières de l’entreprises qui deviennent de plus en plus poreuses, les entreprises manquent de visibilité quant aux données dont elles disposent, à leur localisation, aux personnes qui y ont accès et quant à l’usage qui en est fait. Afin de bien protéger les données, les entreprises doivent s’assurer d’une bonne traçabilité ? de l’accessibilité ? de ces données via la mise en place d’une politique de gouvernance des identités mais aussi de la gouvernance de l’accès aux données, ce qui s’avère être primordiale pour la sauvegarde des données stockées dans des système non structurés.
Méthodologie : une étude indépendante réalisée par l’institut Vanson Bourne spécialisé dans l’étude de marché auprès des fournisseurs informatiques. Elle établit une analyse globale sur la manière dont les décideurs informatiques relèvent les défis de conformités et de sécurité actuels. Interviews réalisées sur un échantillon de 600 décideurs informatiques les plus haut placés, dans des sociétés comptant au moins 1 000 employés à travers l’Australie, la France, l’Allemagne, l’Italie, le Royaume-Uni et les États-Unis.