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Etude Kaspersky Lab : 42% des participants paieraient plus souvent en ligne s’ils s’estimaient mieux protégés contre la cyberfraude

octobre 2014 par Kaspersky Lab et B2B International

L’enquête Consumer Security Risks 2014 réalisée par Kaspersky Lab et B2B International révèle un recul de la confiance des consommateurs dans la sécurité des transactions financières en ligne. C’est ainsi que 49% des participants à travers le monde se sentent vulnérables lorsqu’ils effectuent des achats ou d’autres transactions sur Internet, tandis que 42% utiliseraient plus souvent les systèmes de paiement en ligne s’ils s’estimaient protégés contre la cyberfraude.

En outre, 62% des utilisateurs craignent la fraude financière sur Internet, comme l’illustrent de nombreux résultats de l’enquête. Par exemple, 40% de ceux qui font des paiements en ligne pensent que les applications mobiles officielles proposées par les établissements financiers devraient être davantage sécurisées. Ou encore, 37% indiquent abandonner une opération financière en cours de route quand ils nourrissent des doutes quant à sa sécurité.

Le niveau de protection contre la cyberfraude est un facteur important pour les consommateurs au moment de choisir un site de e-commerce ou un opérateur de services financiers : 60% des personnes interrogées disent préférer les entreprises offrant des mesures de sécurité supplémentaires pour protéger leurs données financières. Par ailleurs, 75% attendent, de la part des banques, des systèmes de paiement et des boutiques en ligne, une protection de leur ordinateur ou appareil mobile contre la fraude financière.

Dans le même temps, bon nombre d’utilisateurs sont conscients de la nécessité de mettre en œuvre leurs propres mesures de sécurité aux côtés de la protection assurée par leurs prestataires de paiement. Alors que 20% d’entre eux font porter aux banques l’entière responsabilité de la sécurité des transactions financières et que 15% se considèrent eux-mêmes entièrement responsables, la majorité (60%) des participants à l’enquête pensent que la responsabilité de la protection des informations financières incombe autant aux utilisateurs qu’aux banques. Cela laisse supposer que les consommateurs seraient tout à fait disposés à accepter de nouveaux outils provenant de leurs établissements financiers, destinés à faciliter la gestion de leur responsabilité partagée dans la prévention de la fraude en ligne.

« Pour encourager une utilisation plus active des services de paiement électronique, les banques, boutiques et systèmes de paiement en ligne doivent apporter aux consommateurs l’assurance qu’ils sont à l’abri des cyberescrocs. L’une des solutions pour les prestataires de services de paiement consiste à proposer des couches supplémentaires de sécurité spécialement conçues pour protéger contre la fraude financière les transactions bancaires et les paiements réalisés en ligne ou à partir d’appareils mobiles. La présence de ce surcroît de protection axé sur les transactions assure aux utilisateurs, de manière immédiate et visible, que leur argent est en sûreté », commente Tanguy de Coatpont, directeur général de Kaspersky Lab France et Afrique du Nord.

L’une des solutions pour renforcer la confiance dans les systèmes de paiements en ligne et mobiles est la plate-forme Kaspersky Fraud Prevention. Les composants de cette solution à plusieurs niveaux sont installés à la fois dans l’infrastructure informatique de l’entreprise et sur les terminaux des clients (ordinateurs, tablettes, smartphones fonctionnant sur différentes plates-formes). De plus, la solution intègre des outils qui permettent de créer des applications mobiles protégées reposant sur les technologies avancées de Kaspersky Lab, ainsi que sur des services de veille fournissant des informations sur les cybermenaces les plus récentes et les moyens de les combattre.


L’enquête Consumer Security Risks a été réalisée en ligne de mai à juin 2014 auprès de 11 135 consommateurs âgés d’au moins 16 ans et répartis dans 23 pays. Les participants ont été invités à répondre à des questions sur leur connaissance des cybermenaces actuelles ainsi que les incidents auxquels ils ont pu être confrontés.


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