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Étude Ivanti sur l’évolution du travail : 71 % des collaborateurs préféreraient travailler à distance, plutôt qu’obtenir une promotion

mars 2022 par Ivanti

Cette étude montre aussi l’inégalité entre les sexes : 70 % des femmes disent que le télétravail a eu des effets négatifs, contre seulement 30 % des hommes.*
Il est essentiel de se concentrer sur les technologies qui améliorent l’expérience des collaborateurs et du département IT, pour réussir le « futur du travail » et retenir le personnel

Ivanti, éditeur d’Ivanti Neurons, plateforme d’automatisation permettant de découvrir, gérer, sécuriser et servir les biens IT du Cloud à la périphérie, annonce aujourd’hui les conclusions de son enquête annuelle sur l’Everywhere Workplace. Nous avons interrogé des experts internationaux du « future of work », ainsi que plus de 6 100 employés de bureau et professionnels de l’IT, afin de connaître le ressenti des collaborateurs concernant le passé, le présent et le futur du travail. Le rapport montre que la révolution des priorités des collaborateurs continue : l’écrasante majorité (71 %) des personnes interrogées affirment qu’elles préféreraient travailler à distance, plutôt qu’obtenir une promotion. Mais, même s’il est très populaire, le télétravail est à double tranchant : 10 % des personnes interrogées disent qu’il a eu un effet négatif sur leur santé mentale.

L’impact de la pandémie sur la santé mentale des collaborateurs a été significatif. 70 % des femmes dans l’IT disent que le télétravail a eu des effets négatifs, contre seulement 30 % des hommes dans le même groupe*. De plus, de nombreux collaborateurs se plaignent d’avoir perdu leurs relations personnelles avec leurs collègues (9 %) et du fait qu’on leur demande de travailler plus d’heures qu’au bureau (6 %). Le rapport souligne aussi d’autres différences entre les sexes : 56 % des femmes interrogées disent que le télétravail a eu un impact négatif sur leur santé mentale, contre seulement 44 % des hommes. Et 52 % des femmes déplorent la perte des relations personnelles avec leurs collègues, quand les hommes ne sont que 47 %.

L’enquête a examiné les modèles potentiels de « future of work » et conclu que 42 % des collaborateurs préfèrent un fonctionnement hybride (soit 5 % d’augmentation par rapport à l’enquête précédente). 30 % des collaborateurs interrogés aimeraient travailler constamment à leur domicile (20 % de moins que lors de la précédente étude), ce qui montre qu’ils sont nombreux à souhaiter retrouver leurs collègues. Cette diminution peut aussi être attribuée au fait que le télétravail a eu quelques inconvénients, même s’il a eu de nombreux avantages, puisque les personnes interrogées disent que les trois principaux points positifs du télétravail ont été : le gain de temps dû à l’absence des trajets vers le bureau (48 %), un meilleur équilibre entre vie privée et vie professionnelle (43 %) et un emploi du temps plus flexible (43 %). Dans les faits, 49 % des personnes interrogées disent que le télétravail a eu des effets négatifs. Parmi les principaux inconvénients, citons le manque d’interaction avec les collègues (51 %), l’impossibilité de collaborer ou de communiquer efficacement (28 %), et les bruits et les distractions (27 %).

L’automatisation va devenir de plus en plus importante, car les environnements vont probablement devenir encore plus complexes. En fait, 15 % des personnes interrogées disent qu’elles préféreraient pouvoir travailler à distance (87 % de plus que lors de l’enquête précédente). Il est intéressant de noter que, 22 % des professionnels interrogés disent être devenus des nomades numériques pendant la pandémie, et 18 % envisagent de le devenir. 13 % seulement des répondants disent qu’ils aimeraient travailler définitivement au bureau (11 % de moins que lors de l’enquête précédente).

L’étude révèle également que presqu’un quart (24 %) des personnes interrogées ont quitté leur travail au cours de l’année écoulée, participant ainsi au phénomène de « grande démission » et que 28 % envisagent de le faire dans les six prochains mois. Lorsque l’on se concentre sur les répondants âgés de 25-34 ans, la proportion des personnes prévoyant de quitter leur emploi dans les six prochains mois passe à 36 %. Les stratégies de retour au bureau constituent un facteur essentiel dans ce phénomène de démissions. Près d’un quart (24 %) des personnes interrogées affirment qu’elles démissionneraient si leur employeur imposait un retour au bureau à plein temps.

Concernant l’avenir, 26 % des personnes interrogées lors de l’enquête affirment qu’elles espèrent que le département IT fournira de nouveaux matériels (ordinateurs portables, ordinateurs fixes et des appareils mobiles, etc.) en 2022, et 26 % espèrent que le département IT modernisera le centre de support. Chez les professionnels de l’IT, ce désir de modernisation du centre de support passe à 32 %. Ce n’est pas très étonnant. En effet, les volumes d’appels au centre de support ont bondi avec la pandémie, ce qui augmente les coûts de fonctionnement, et limite la productivité et la satisfaction des collaborateurs.

Méthodologie

Ivanti a interrogé 4 510 personnes travaillant dans les bureaux et 1 609 professionnels de l’IT, aux États-Unis, au Royaume-Uni, en France, en Allemagne, aux Pays-Bas, en Belgique, en Espagne, en Suède et en Australie, afin de connaître leur opinion concernant le télétravail, les différences entre les diverses populations, et les avantages/inconvénients spécifiques que ces personnes ont constatés jusqu’à présent avec le télétravail.


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