Rechercher
Contactez-nous Suivez-nous sur Twitter En francais English Language
 











Abonnez-vous gratuitement à notre NEWSLETTER

Newsletter FR

Newsletter EN

Vulnérabilités

Se désabonner

Etude Brocade : Les entreprises mal notées sur le Green

juillet 2008 par Brocade

Alors que les préoccupations concernant l’environnement et la crise de l’énergie menaçante créent un débat international, une nouvelle étude basée sur une enquête auprès de plus de 8000 Directeurs IT Européens et responsables de conseil d’administration révèle que près de 40 % des sondés noteraient le comportement « Green » de leur organisation comme « pas bon du tout » ou même « pauvre ». La France dépasse la moyenne, avec près de la moitié des répondants notant leur entreprise négativement.

38 % des mêmes répondants disent être concernés par l’utilisation d’énergie et l’empreinte carbone de leur entreprise, avec moins d’un cinquième rapportant qu’ils recherchent activement à se procurer des produits technologiques respectueux de l’environnement. En France ces chiffres atteignent respectivement 73 et 21 %.

L’étude commissionnée par Brocade, spécialiste des solutions de réseau de stockage, a sondé des utilisateurs qualifiés de Royaume-Uni, France, Allemagne, Benelux, Italie, Espagne, Autriche et Suisse.

Les sondés ont également reconnu que le manque d’efficacité énergétique était un problème, et pensent que leurs entreprises utilisent une part significative de leurs dépense opérationnelles (OpEx) pour des coûts liés à l’énergie. Dans l’ensemble, 44 % des répondants à travers l’Europe pensent que leurs entreprises consacrent jusqu’à 25 % de leur OpEx total pour l’énergie. En France, ce chiffre monte jusqu’à près de la moitié des sondés (46 %). Toutefois, sans se préoccuper du montant actuel dépensé, plus de 60 % de l’ensemble des sondés sont d’accord avec le fait que l’OpEx dépensé en énergie est « trop important ».

Ulrich Plechschmidt, Vice Président EMEA de Brocade, commente : « Il est inquiétant de constater le manque de préoccupation concernant les démarches vertes, vue la somme de pressions récentes du secteur et l’attention donnée à ce sujet par les médias. De notre point de vue, les gens sont soucieux des préoccupations d’énergies, mais ne vont pas jusqu’à acheter des produits plus efficaces et plus respectueux de l’environnement. C’est l’une des actions simples qu’une société peut mettre en place pour réduire non seulement son empreinte carbone, mais aussi ses coûts. »

Toutefois, tout n’est pas négatif. Près des 2/3 des sondés ont déclaré s’être intéressés aux moyens leur permettant de réduire les dépenses énergétiques, mais cela signifie qu’un tiers des entreprises européenne ne s’est pas encore penché sur le problème. L’Italie est à la traîne de l’Europe en terme de proactivité, alors que les allemands en sont le « drapeau vert » avec près d’un quart des sondés expliquant qu’ils éduquent leurs employés afin qu’ils soient plus conscients des enjeux et achètent des produits avec une meilleure efficacité énergétique.

« Il est reconnu que l’informatique consomme une large partie des ressources énergétiques d’une entreprise (les data centers utilisent à eux seuls près de 2 % de l’électricité mondiale), mais les leaders professionnels ne peuvent pas rester sans rien faire et laisser cela continuer. Des technologies sont disponibles aujourd’hui qui ont été spécifiquement conçues pour permettre des économies d’énergies significatives, et les entreprises devraient les rechercher lorsque cela est possible. Faire quelques efforts pour rechercher ces solutions rapportera de nombreux bénéfices dans le futur », ajoute Ulrich Plechschmidt.

Dans l’ensemble, près de 75 % des répondants ont déclarés être prêts à rechercher à faire des économies d’énergies dans le domaine professionnel comme ils le font à titre personnel, suggérant que l’environnement de travail est aussi important pour les responsables européens que leur cadre privé. Ulrich Plechschmidt conclut : « La plupart du temps il s’agit simplement d’avoir une vue d’ensemble de son environnement IT et de rechercher comment créer une plus grande efficacité. Il y a un grand nombre de solutions sur le marché qui fournissent aux organisations des moyens peu risqués de faire évoluer leur infrastructure IT pour une performance, une flexibilité et une protection des investissement maximums, tout en permettant un succès opérationnel. D’après notre expérience, les plateformes de consolidation rendent très faciles pour les entreprises l’implémentation et le gain d’une plus grande performance, évolutivité et réduction des coûts. Diminuer le nombre d’appliances physiques déployées réduit automatiquement l’utilisation d’énergie, permettant ainsi d’économiser de l’argent. C’est mathématique. »


Voir les articles précédents

    

Voir les articles suivants