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Etude Acronis & Ponemone : Le niveau de confiance des entreprises en matière de sauvegarde et de reprise d’activité boosté par des ressources et des technologies plus adaptées

février 2012 par Acronis & Ponemone

Bien que 2011 ait été une année très agitée, les entreprises du monde entier ont davantage confiance en leur capacité à sauvegarder et restaurer leurs données et systèmes informatiques, et ce même suite à un sinistre.

D’après le classement Acronis Global Disaster Recovery (DR) Index 2012, le niveau de confiance des entreprises en leurs stratégies de sauvegarde et de reprise d’activité a augmenté de 14% par rapport aux résultats du classement réalisé l’année précédente. Des stratégies et des procédures mieux documentées (+ 7 %) ont aidé à relever le niveau de confiance des entreprises françaises, notamment quant à leur capacité à surmonter un événement ou incident grave (phénomène météorologique, cyberattaque, etc.).

Cette hausse vient également du fait que 66% des entreprises vérifient leurs plans de sauvegarde et de reprise d’activité après sinistre plus régulièrement, probablement en raison des incroyables catastrophes naturelles qui ont frappé la plupart des régions du monde en 2011, même si elles ont épargné la France, notamment les terribles inondations en Australie, au Brésil et en Thaïlande, les tremblements de terre meurtriers en Nouvelle-Zélande et en Turquie, les ouragans qui ont provoqué des dommages estimés à plusieurs milliards de dollars aux États-Unis, sans oublier le tsunami au Japon où certaines entreprises ne sont pas encore intégralement remises sur pied.

Malgré l’amélioration globale du niveau de confiance, l’enquête, réalisée auprès de 6 000 PME dans 18 pays, a révélé des résultats plus inquiétants, tels que :

• des budgets en berne : les entreprises consacrent le même budget à leurs opérations de sauvegarde et de reprise d’activité d’une année sur l’autre qui ne représentent que 10% des dépenses informatiques.

• près de deux tiers des responsables informatiques interrogés (62%) estiment que leurs dirigeants ne soutiennent pas leurs plans de sauvegarde et de reprise d’activité.

• la croissance des données se poursuit : une PME standard crée près de 40 To de nouvelles données chaque année.

• de nombreuses erreurs humaines : 67% des entreprises françaises interrogées ont déclaré que les erreurs humaines étaient le phénomène le plus souvent à l’origine des pannes système.

• le coût d’une panne : une panne système dure en moyenne 2,2 jours, ce qui représente 286 644 € de perte de productivité par an par entreprise.

Gérer des environnements hybrides (physiques, virtuels et cloud) constitue le plus grand défi

Pour la deuxième année consécutive, la grande majorité (73%) des responsables informatiques français interrogés s’accordent à dire que leur plus grand défi en environnement hybride consiste à faire migrer des données entre leurs environnements physiques, virtuels et le cloud. Cependant, l’enquête a montré que la plupart des entreprises ne consolident toujours pas leurs outils de sauvegarde et de reprise d’activité pour relever ce défi. La plupart d’entre elles utilisent plusieurs outils. En France, près de 28% des entreprises utilisent au moins trois solutions différentes pour protéger leurs données. Plus de deux tiers (67%) utilisent des solutions distinctes pour leurs environnements physiques et virtuels.


Classement Acronis Global Disaster Recovery Index

Pour créer le classement, chaque pays interrogé a été classé en fonction de la moyenne de ses résultats à 11 questions sur la confiance des entreprises en leurs aptitudes, possibilités et pratiques de sauvegarde et de reprise d’activité. Les questions concernaient les technologies, les ressources, les procédures et le soutien des dirigeants. (cf. image dans pièce jointe)

À propos de ces résultats, Olivier Cohen, Directeur Général d’Acronis pour l’Europe du Sud a déclaré : « Les résultats de l’enquête semblent indiquer que les catastrophes naturelles de 2011 ont été un élément déclencheur qui aujourd’hui conduit de plus en plus d’entreprises à tester leurs opérations de sauvegarde et de reprise d’activité après sinistre. Mais dans l’ensemble, même si l’enquête révèle des évolutions positives, beaucoup trop de points négatifs au niveau stratégique (tels que le manque de soutien des dirigeants ou l’utilisation de plusieurs solutions distinctes) persistent lorsqu’il s’agit de protéger, de sécuriser et d’assurer la disponibilité immédiate des actifs numériques critiques de l’entreprise, et tout particulièrement en environnement hybride. »


Plus d’information :

L’enquête a été réalisée par Ponemon Institute dans 18 pays, aux mois de septembre et octobre 2011. Plus de 6 000 professionnels de l’informatique de PME (n’excédant pas 1 000 salariés) ont été interrogés.


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