Rechercher
Contactez-nous Suivez-nous sur Twitter En francais English Language
 











Abonnez-vous gratuitement à notre NEWSLETTER

Newsletter FR

Newsletter EN

Vulnérabilités

Se désabonner

Enquête Acronis : La reprise d’activité après sinistre responsable du stress chez les DSI

juin 2010 par Acronis

Près de la moitié des responsables informatiques de PME interrogés dans toute l’Europe sont inquiets à l’idée de devoir restaurer des données perdues suite à une infection virale ou à un dysfonctionnement de disque dur. D’après une récente enquête menée à l’initiative d’Acronis®, les responsables informatiques qualifient cette inquiétude de stressante, voire de très stressante. D’après les résultats de l’enquête, cela est principalement dû aux mauvaises pratiques de sauvegarde et de restauration mises en place dans bon nombre d’entreprises et à l’impact que peut avoir la perte de données sur la productivité et sur le chiffre d’affaires de l’entreprise.

L’enquête menée auprès des PME par le cabinet Vanson Bourne pour le compte d’Acronis en octobre 2009 consistait à déterminer les niveaux du stress ressenti par les responsables informatiques, stress généré par le processus de reprise d’activité après sinistre. L’enquête a montré que la protection et la disponibilité des données du directeur général constituait l’une des principales sources de stress. 29% des personnes interrogées estiment que le stress généré par la possible perte des données du directeur général équivaut à s’apercevoir qu’elles ont oublié leurs passeports une fois à l’aéroport, prêtes à partir en vacances. De la même façon, 29% des sondés décrivent cette situation comme aussi stressante que d’arriver en retard à un entretien d’embauche.

À la question : de la part de qui ressentez-vous le plus de pression dans le cadre d’une restauration de données ? 59 % des responsables informatiques répondent que la pression vient de leur directeur général ou de leur responsable, et un quart considèrent qu’ils se mettent eux-mêmes la pression. L’enquête a également montré que même si les responsables informatiques reconnaissent l’importance de la sauvegarde et de la restauration, bien souvent ils n’ont pas implémenté les stratégies appropriées pour avoir suffisamment confiance en leurs procédures de reprise d’activité après sinistre, d’où des niveaux de stress élevés en entreprises.

L’enquête a également montré que la plupart des entreprises (72%) appliquent toujours une stratégie de « sauvegarde de fin de journée » et qu’une entreprise sur dix ne sauvegarde ses données qu’une seule fois par semaine. Seule une minorité d’entreprises sauvegardent leurs données sur une base horaire. L’application de ces stratégies signifie que les entreprises risquent de perdre des journées entières de travail si leurs systèmes venaient à tomber en panne, entraînant par la même une perte de productivité et de revenus.

« D’après cette enquête, il est clair que la reprise d’activité après sinistre est capitale. Il est d’autant plus surprenant qu’avec des technologies de reprise d’activité aussi matures et autant d’informations sur les conséquences qu’implique la perte de données, les entreprises aient toujours recours à de mauvaises pratiques de sauvegarde et de restauration », a expliqué David Junca, Directeur Général d’Acronis en Europe du Sud. « Comme pour toute source de stress, mieux vaut prévenir que guérir. Les responsables informatiques devraient chercher à revoir leurs stratégies de reprise d’activité après sinistre afin d’éviter de tels effets néfastes pour leur entreprise ou leur propre santé. »

Pour télécharger le guide sur la sauvegarde et la restauration à l’usage des PME, accédez à l’adresse suivante : http://www.acronis.fr/resource/tech-talk/whitepapers/. Cette enquête a été menée par Acronis et le cabinet Vanson Bourne auprès de 600 PME (250 à 1 000 employés), au Royaume-Uni, en Allemagne et en France. Les personnes interrogées étaient responsables de services informatiques.


Voir les articles précédents

    

Voir les articles suivants