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Diskepeer : Renforcer le "maillon faible" de la virtualisation

mars 2011 par Sue Cantwell, Directrice Générale de Diskeeper Corporation Europe

Les SAN (réseaux de stockage) et la virtualisation (ex. : Hyper-V de Microsoft, ESX de VMware) constituent le présent en pleine croissance et l’avenir dominant des ordinateurs universels. Après tout, le "nuage" est basé sur ces technologies. Un élément clé de ces nouvelles technologies est le partage des ressources informatiques qui, par définition, sont limitées.

La rapidité opérationnelle n’est pas simplement importante, elle est fondamentale sous tous ses aspects

En excluant les applications, les systèmes d’exploitation et le stockage des données, les départements et prestataires de services informatiques ont la possibilité d’optimiser leur mise à échelle, leur provision, leur centralisation, leur utilisation et leur adaptation aux besoins commerciaux beaucoup plus rapidement et bien plus efficacement en termes de coûts.

Tandis que ces technologies peuvent améliorer considérablement la capacité des systèmes informatiques à appuyer les activités de l’entreprise, elles s’accompagnent également de problèmes informatiques sempiternels. Pour tous les problèmes qu’elles résolvent, il en existe d’autres qu’elles amplifient. La préoccupation liée à la sécurité des données est omniprésente. En fait, on pourrait aller jusqu’à dire que cette question devient même encore plus importante, principalement du fait du partage des ressources informatiques.

Les ressources informatiques ne sont pas infinies. Les directeurs informatiques dont la lourde tâche consiste à élaborer et maintenir les infrastructures informatiques doivent maximiser leur utilisation des ressources disponibles. Les quatre ressources principales du paysage informatique moderne sont identiques à celles de l’informatique physique : les unités centrales, la mémoire, les réseaux et les disques (stockage).

La performance E/S des disques (http://www.diskeeper.com/business/v-locity/?apid=PPS0006651) est historiquement le plus lent des composants principaux et continue de constituer le maillon le plus faible, en dépit de l’avènement des SAN, des SSD et des systèmes de stockage externalisés. Améliorer la performance E/S des disques fournit habituellement l’augmentation de rendement la plus importante au sein des infrastructures virtualisées modernes, tout comme c’était autrefois le cas des serveurs et des installations annexes de stockage "physiques".

Faire mieux avec moins

La fragmentation des données qui s’effectue de façon native dans tous les systèmes d’exploitation universels entraînant plus d’E/S des disques qu’il n’est nécessaire.
La fragmentation est la condition selon laquelle des morceaux de fichiers individuels et l’espace libre sur un disque ne sont pas contigus, mais plutôt cassés et éparpillés au sein du disque. Nous savons aujourd’hui que cela affecte négativement les serveurs physiques dotés d’installations annexes de stockage. Cependant, du fait du partage des ressources au sein d’une infrastructure virtuelle, ce problème devient encore plus significatif. Le trafic E/S additionnel et inutile des disques exerce un impact non seulement sur le système d’exploitation responsable, mais également sur tous les autres systèmes d’exploitation qui partagent cette ressource limitée. Cette fragmentation se manifeste sous la forme de SAN (réseaux de stockage) qui ne fonctionnent plus comme ils le faisaient initialement, d’applications présentant des temps de latence plus importants, de chargements de fichiers exigeant un temps d’attente de plus en plus long pour les utilisateurs et de difficultés en termes de maximisation de densité des machines virtuelles sur une plateforme hôte.

Il a été prouvé que l’élimination de la fragmentation permet d’améliorer la performance E/S. David Chernicoff, dans son rapport intitulé "Maximize the Performance of Your Windows SAN Infrastructure" (Maximiser la performance de votre infrastructure de SAN Windows), présente le problème avec simplicité :

Étant donné que le système de fichiers SAN est géré au niveau de l’équipement informatique par le SAN et que tout client qui s’attache au SAN le traite en tant que stockage local, le SAN gère son système de fichiers indépendamment du mode de rédaction des données du système d’exploitation du serveur. Cela signifie que la source de la fragmentation doit être prise en considération : les données doivent être rédigées dans le SAN de façon à minimiser leur fragmentation pendant leur rédaction, permettant de réduire le nombre d’E/S des disques transmis au SAN, tout en augmentant leur taille.

Éliminer la fragmentation réduit le nombre d’E/S des disques requis pour répondre aux besoins de l’entreprise. Si la même tâche peut être accomplie en déployant moins d’efforts, cela se traduit en une réduction des coûts et une amélioration de la performance.

Diskeeper Corporation a créé une nouvelle technologie appelée IntelliWrite(R), qui réduit de façon significative les goulots d’étranglement E/S en empêchant la fragmentation d’avoir lieu en amont. Cette technologie indispensable a été incorporée au sein des produits Diskeeper et est essentielle conçue pour maximiser la performance E/S désirée sur vos systèmes informatiques.


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