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Diskeeper Europe : Meilleures Pratiques pour éliminer la fragmentation sur les technologies de stockage modernes

janvier 2011 par Diskeeper Europe

Un SAN permet à l’administrateur réseau d’avoir le disque remote apparaissant en local. Peu importe le protocole utilisé pour se conncter : ISCSI, Fibre Channel, etc.

Les unités de stockage SAN sont appelées LUNs. A l’origine, le terme LUNs (Logical Unit Number) veut simplement dire que les disques SCSI s’adressent à une rangée particulière d’un disque spécifique, mais cela est maintenant utilisé pour définir la rangée du disque dur physique incluse dans un SAN en tant que volume(s) logique(s).

La virtualisation du stockage implique généralement une très large réserve de données logiques. Au travers du logiciel, cette réserve apparait stockée physiquement sur tous les serveurs. En réalité, cette donnée peut être stockée sur des centaines de disques physiques répartis sur des douzaines de serveurs. Ceci est le concept du stockage réparti sur réseau dit “Storage Area Networks”.

Cette technologie rend caduque le “stockage logique” (en système de dossiers — ce que l’OS voit et utilise) depuis le dispositif de stockage physique et l’amalgame dans un large groupe sur lequel un container de stockage virtuel est crée.

Les systèmes de fichiers SAN tels que VMFS de VMware ou EMC Celerra sont connus pour être des systèmes de partage des fichiers disques systèmes et sont l’épine dorsale du stockage virtuel. Un OS défragmenteur ne reconnait que les fichiers du disque “local” qu’il identifie naturellement. Les fournisseurs de systèmes de fichiers industriels incluent typiquement des technologies spécialisées pour optimiser la performance. Ces systèmes de fichiers sont le fondement du stockage virtuel.

Le stockage virtuel utilise de la métadata pour canaliser correctement les E/S.

Un logiciel sur un dispositif de stockage virtuel (tel qu’un SAN Switch) traduira des emplacements de disques logiques sur les disques physiques.

Par exemple :

Un dispositif de stockage virtuel reçoit une rquête pour un emplacement logique sur LUN #1, LBA32.

Le dispositif procède alors à un parcours de la métadata à cette attention et fait la carte du LUN#4, LBA16. Ensuite, le dispositif redirige la requête sur le serveur physique ou la donnée est stockée.

Lorsque la donnée est récupérée, il retransmet à l’original sans que l’original ayant transmis la requête sache jamais que celle-ci a été résolue depuis un emplacement different de ce qu’il connait.

Le fait qu’il n’y ait pas de mapping en one-to-one des clusters du système de fichier sur LBAs (à cause de la virtualisation du LUN) n’est pas un problème. Les systèmes de fichiers logiques fragmentés obligent l’OS à générer des E/S supplémentaires au logiciel de virtualisation. En utilisant de la métadata, le SAN redirige ensuite les E/S depuis le disque logique jusqu’à leur emplacement physique Le fichier du disque local ne le sait pas et ne peut pas contrôler la distribution physique ou les emplacements dans un environnement de stockage virtuel. La conséquence de la fragmentation est que le NTFS doit faire de multiples demandes peu importe s’il s’agit d’un environnement de stockage virtuel ou physique.

Dans le système de fichiers SAN, une taille de bloc (la plus petite unité de mesure virtuelle) est une mesure paramétrable et varie en fonction du logiciel utilisé. VMware VMFS, par exemple, est compatible avec des blocs de 1 MB à 8 M.

Les “Logical Cluster Numbers” (LCNs) sont un système de fichiers construit pour être utilisés en cartographiant sur le volume de LBAs. Les contrôleurs du disque prennent en compte ces blocs et leur attribuent un emplacement physique. Les contrôleurs de disques, peu importe leur degré d’évolution ne sont pas capables d’enregistrer des fichiers de manière linéaire. Ils ne peuvent pas “rassembler” la donnée entrante basée en blocs dans un fichier.

Les SANs peuvent offrir des systems de stockage extrêmement efficacies, mais ce n’est pas le travail du SAN de s’occuper des fichiers fragmentés et d’en évaluer le degree. Les technologies industrielles employées par un fournisseur peuvent être plus efficacies pour récupérer des blocs de données que d’autres. Les architectures sont également différentes, peu importe l’efficacité de la recuperation des données et combine les limitations du disque physique peuvent être atténuées, la fragmentation atteindra le système quoi qu’il arrive et bien au-dela de la portée de la technologie.

Seul Diskeeper 2010 fournit des drivers de système fichiers prévenant le plus gros de la fragmentation à la source (le système fichiers) avec une écriture fichier. C’est une excellente solution pour les environnements SAN.

Des technologies industrielles telles qu’ InvisiTasking® qui élimine la fragmentation directement sur le dispositif de stockage, apporteront plus de ressource sensible pour le réseau de stockage à travers une granularité de ses actions. Avec les possibilités de conflits quand la demande en E/S est trop importante sur SANs, il est toujours recommandé d’entreprendre une évaluation de l’environnement afin de déterminer si les temps de défragmentation sont mieux programmés hors temps de travail.


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