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Diskeeper Corporation : 5 mythes sur la fragmentation

janvier 2011 par Sue Cantwell, Directrice Générale de Diskeeper Corporation Europe

Mythe No1. Le défragmenteur intégré est suffisant pour garder des performances optimum dans un environnement business

La vérité : Le défragmenteur intégré à des fonctions basiques et des limitations augmentant les couts opérationnels.

Le taux de fragmentation augmente proportionnellement à l’activité informatique d’une entreprise. Le défragmenteur intégré n’ayant pas de transparence opérationnelle, il ne peut gérer son activité sur une base journalière et doit être programmé en dehors des heures de production. Comme la fragmentation se construit pendant les heures de travail, la programmation des durées de défragmentation est généralement trop courte pour compléter la tache dans son ensemble. Utiliser le défragmenteur intégré impose à l’administrateur d’y consacrer du temps pour planifier les sessions. Quand plusieurs systèmes sont utilisés, cela devient un exercice imposant un investissement en temps substantiel et récurrent.

La technologie de performance Diskeeper*va beaucoup plus loin. Elle prévient jusqu’à 85% de toute la fragmentation avant même qu’elle ne se produise. Tout fragment restant est traité en temps réel, automatiquement et sans aucun conflit de ressources du système. Les machines tournent donc à un taux proche de zéro fragmentation sans besoin de maintenance administrative.

Mythe No.2 : La fragmentation n’est pas un problème sur SAN/RAID/SSD et les technologies de plateformes virtuelles.

La vérité : Quel que soit le moyen utilisé pour stocker vos données, tout les systèmes de fichiers fragmentent et provoquent tôt ou tard des goulots d’étranglement des entrées / Sorties, augmentant le temps et l’énergie nécessaires pour accomplir une même tache. Les nouvelles technologies de stockage font abstraction des systèmes de fichiers du disque depuis la base des hardwares et software sous-jacent constituant le sous-système de stockage. Ces mêmes systèmes de disques (software et hardware) n’ont pas connaissance de l’activité du système de fichiers. Peu important ou et comment est stockée la donnée, résoudre le problème de fragmentation n’a jamais été aussi cruciale pour assurer une performance des systèmes fiable et optimale.

Il existe un rapport technique complet sur le sujet, consultable sur : http://www.globalsecuritymag.fr/Livre-Blanc-Diskeeper-Corporation,20110118,21503.html

Mythe No.3 La défragmentation active est consommatrice intensive de ressource et doit être programmée en dehors des heures de production.

La vérité : Cela était vrai avec le défragmenteur intégré, il fallait traiter le problème en priorité au risque d’être constamment ennuyé. Quand le défragmenteur intégré est devenu programmable, cela a peu changé les choses. L’algorithme de défragmentation était lent et consommait énormément de ressource, convenable en cas d’urgence mais certainement pas en tant que solution standard de maintenance de la performance des systèmes.

La solution logicielle Diskeeper inclus Invisitasking, une technologie permettant les opérations de défragmentation en arrière-plan, en temps réel et sans conflit de ressource, quel que soit le volume de trafic des entrées / Sorties. Ajoutons à cela le fait que la solution Diskeeper prévient 85% de la fragmentation avant qu’elle ne se produise, elle permet d’utiliser des machines avec beaucoup plus de ressource disponible.

Mythe No.4 : On risque d’user son disque quand on défragmente trop souvent.

La vérité : C’est exactement l’opposé. En éliminant la fragmentation, on réduit considérablement le besoin d’accès au disque pour ouvrir un fichier ou l’enregistrer. Même en considérant le besoin en entrées / sorties nécessaire pour défragmenter, celui-ci est toujours moins important que de travailler avec des fichiers fragmentés. Par exemple, un fichier fragmenté en 50 pièces et dont l’accès serait nécessaire 2 fois par jours pendant une semaine comptabiliserait un total de 700 accès au disque (50 x 2 x 7). Défragmenter le fichier couterait probablement 100 accès au disque (50 lectures + 50 écritures) mais après cette opération, seul un accès au disque sera nécessaire pour utiliser le fichier. Cela fait 14 accès au disque sur une semaine (2 x 7), et 100 pour la défragmentation, soit 114 au total. 700 accès au disque avec un fichier fragmenté versus 114 avec un fichier défragmenté, cela fait une vraie différence. Mais dans un scénario à l’échelle d’une entreprise, ce résultat serait multiplié par des centaines pour avoir une idée réelle du gain de performances. La capacité qu’à Diskeeper de prévenir la fragmentation réduit l’activité du disque bien plus que ce que peut la défragmentation, comme dans l’exemple montré ci-dessus.

Mythe No.5 : Les nouveaux ordinateurs opèrent au top de la performance qu’ils peuvent délivrer.

La vérité : Même sur un disque à forte capacité, la simple installation d’un système d’opération (OS) fragmente déjà les fichiers considérablement. Chaque application ajoutée, chaque nouveau fichier augmentent le niveau de fragmentation.

La solution Diskeeper doit être installée dès le départ sur un nouveau serveur et poste de travail afin d’obtenir des performances maximales.


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