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Datacenter et green IT : mode d’emploi en 5 étapes avec Datacenter One

mars 2011 par STAR-APIC

Cartographier les infrastructures et les équipements pour maîtriser l’efficacité énergétique et donc diminuer son empreinte carbone.

· 1ere étape dans l’optimisation d’un centre de données : la connaissance de l’existant

« Pour maîtriser l’évolution du bâtiment, il faut connaître son contenu, anticiper son évolution, optimiser son usage. Par la méconnaissance des équipements installés, on introduit de l’inefficience dans le centre de données qui les héberge », déclare Bruno Brottier, directeur de Business Unit Building One de Star-Apic. La phase de cartographie exhaustive de l’existant est primordiale, elle conditionne la réussite des étapes suivantes et la qualité des résultats attendus.

· 2e étape : La chasse aux équipements inactifs

"Faute d’une approche à la fois systématique et cartographique de l’occupation des sites, on trouve dans beaucoup de centres de données des équipements inutilisés. Certaines études parlent de 10 % d’inutilisation ! Or, un équipement inactif consomme de l’énergie. Cette consommation invisible est inutile, mais tout à fait significative."

3e étape : dissipation thermique et impact carbone : qui consomme quoi ?

L’activité d’un serveur est étroitement liée à celle des postes clients, elle-même difficile à mesurer…

"Pour la répartition thermique, les outils de design et de simulation permettent de prévoir la localisation des points chauds", indique Bruno Brottier, "et les outils de gestion permettent d’ optimiser le refroidissement nécessaire par une urbanisation astucieuse. Un logiciel d’urbanisation basé sur un SIG, comme DATACENTER ONE, s’inscrit dans cette vision, en fournissant des données à la fois géographiques et alphanumériques fiables à ces outils spécialisés."

4e étape : calculer son empreinte carbone pour disposer d’une base de référence

Le logiciel d’urbanisation Datacenter One permet de regrouper des informations disparates. En constituant un référentiel unique, il devient possible d’établir des statistiques et des rapports exploitables pour mesurer l’empreinte carbone du parc installé. La difficulté de la collecte des informations de base auprès des constructeurs est progressivement surmontée par la constitution de bases de données par des sociétés spécialisées.

5e étape : adopter une approche dynamique et non plus statique

Pour être complet, l’outil d’urbanisation doit pouvoir importer en amont des données de recensement et des plans, mais aussi échanger en aval des informations dans des outils de gestion de parc informatique, de relevé de mesures ou de simulation thermique. En amont, l’incontournable Excel reste efficace pour les mesures d’encombrement, la localisation des ressources et des matériels et toutes autres données statiques. Dans bien des cas, il est utilisé tel quel pour représenter l’occupation verticale des baies comme autant de colonnes dans un tableau. "Pour le positionnement au sol des équipements, Excel est souvent complété par Visio", précise Bruno Brottier. "Notre solution DATACENTER ONE s’impose quand on a atteint les limites d’Excel et de Visio : plans multiples, feuilles de calcul disjointes, manque d’informations de traçabilité, impossibilité d’extraire des rapports. Typiquement, les données de DATACENTER ONE sont ensuite disponibles pour d’autres applications."


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