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Check Point réagit suite au démantèlement du botnet butterfly qui a permis de dérober 850 millions de dollars

décembre 2012 par Check Point

Alors que le FBI déclare avoir interpellé les auteurs du botnet Butterfly, avec la collaboration de Facebook, le logiciel malveillant qui avait infecté 11 millions de machines grâce au ver Yahos depuis 2010 pour un bénéfice estimé à 850 millions de dollars, Check Point revient sur ce danger silencieux qu’on appelle "Botnet".

"Les botnets représentent aujourd’hui la menace la plus importante auxquelles les entreprises et particuliers doivent faire face pour protéger leur réseau. Composés de quelques milliers à plus d’un million de systèmes compromis, les botnets sont utilisés par les cybercriminels pour s’accaparer des ordinateurs et mener des activités illégales telles que le vol de données, l’accès non autorisé à des ressources réseau, le lancement d’attaques de déni de service ou la diffusion de spam." explique Thierry Karsenti, Directeur Technique Europe chez Check Point Software Technologies. "Aujourd’hui, dans le monde de la cybercriminalité, les pirates sont largement motivés par l’obtention de numéros de carte de crédit, d’identifiants de messagerie électronique, d’identifiants de connexion à des sites Web bancaires et de toute autre information monnayable rapidement."

Thierry Karsenti rappelle que la dernière attaque ciblée, multidimensionnelle, sophistiquée et silencieuse appelée "Eurograbber" a permis aux pirates de dérober quelques 36 millions d’euros à plus de 30 000 particuliers et entreprises clients des banques à travers toute l’Europe. Eurograbber est une nouvelle variante très efficace du botnet ZITMO, le cheval de Troie Zeus-in-the-mobile. "Nous devons tous en tirer des enseignements car ce types d’attaques risque de se multiplier dans les mois et années à venir... La prolifération d’outils pour consulter ses comptes en banque : internet, mobiles, tablettes, etc. donne aux pirates de nouveaux accès vers les comptes des particuliers et au regard de l’ampleur des gains potentiels le rythme des attaques n’est pas près de ralentir...."


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