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Cédric Sapart, Banque Degroof : Score PDCA est un outil à conseiller pour élaborer son PCA

octobre 2009 par Marc Jacob

La Banque Degroof fondée en 1871 est la première banque privée d’affaires indépendante de Belgique. Elle compte à ce jour plus de 1.000 collaborateurs. Cédric Sapart, Business Analyst au sein de cet établissement était à la recherche d’un outil capable d’une part, de stocker les données de notre analyse de Business Impact et, d’autre part, de centraliser les informations de notre plan de contingence opérationnel. Ainsi, il a s’est tourné vers la solution d’Ageris Group Score PDCA qui pour lui est l’outil idéal pour bâtir son Plan de Continuité d’Activité.

GS Mag : Pouvez-vous nous présenter votre société ?

Cédric Sapart : La Banque Degroof fondée en 1871 est la première banque privée et d’affaires indépendante de Belgique.
Nous sommes actifs dans les domaines de gestion de patrimoine pour des clients privés et institutionnels, activités de marché et corporate finance, crédits et structuration financière.
Nous sommes présents dans six pays et comptons plus de 1.000 collaborateurs.

GS Mag : Quels sont le contexte et les objectifs de départ du projet ?

Cédric Sapart : En collaboration avec notre filiale située à Luxembourg, nous étions à la recherche d’une solution informatique nous permettant, d’une part, de stocker les données de notre analyse de Business Impact et, d’autre part, de centraliser les informations de notre plan de contingence opérationnel. L’objectif était aussi évidemment de pouvoir organiser, à terme et sur base des données reprises, les différentes étapes de notre plan de contingence.

GS Mag : Qu’ont apporté Ageris GROUP, et plus particulièrement Score PDCA (anciennement Score WEB) à votre projet ?

Cédric Sapart : Les contacts que nous avons eus avec le personnel d’Ageris Group et la façon dont l’outil est structuré nous ont permis d’organiser efficacement notre récolte de données fonctionnelles. Celle-ci a en effet été réalisée en tenant compte directement de la façon dont les données seraient reprises dans Score PDCA, ce qui en a facilité l’encodage initial et en accélère la mise à jour.
Comme la Banque Degroof a été directement impliquée dans la constitution du logiciel, celui-ci répond parfaitement à ses besoins.

GS Mag : Quel est votre rôle au sein de la Banque Degroof en Belgique ?

Cédric Sapart : En tant que Business Analyst, j’ai étroitement participé avec notre collègue de Banque Degroof Luxembourg à l’expression de nos besoins afin qu’Ageris puisse réaliser un outil qui réponde directement aux attentes de sociétés de notre calibre en matière de plans de continuité.

GS Mag : Quels sont les principales qualités de la solution Score PDCA ?

Cédric Sapart : A mes yeux, Score PDCA dispose de deux qualités principales :
 ? L’outil est configuré de telle sorte qu’il permet de structurer et découper, de façon claire, les différentes étapes de l’élaboration d’un plan de continuité.
 ? L’outil étant composé de différents modules, il n’est pas nécessaire d’acheter et de devoir utiliser l’ensemble du logiciel. Il suffit de sélectionner les modules qui nous intéressent.

GS Mag : Combien de personnes utilisent l’application à ce jour au sein de la Banque Degroof en Belgique ?

Cédric Sapart : Il y a actuellement 6 personnes qui ont un accès à l’applicatif, mais 4 personnes seulement l’utilisent au quotidien.

GS Mag : Quel bilan tirez-vous de votre utilisation de notre solution ?

Cédric Sapart : Nous sommes toujours dans le processus d’organisation de notre plan de continuité. De ce fait, nous n’avons pas encore paramétré l’intégralité des modules acquis. Néanmoins, l’outil a été développé afin de devoir dupliquer le moins possible les informations, ce qui en facilite l’utilisation et, surtout, la mise à jour. L’outil dispose d’un nombre appréciable de raccourcis évitant de devoir retourner sans cesse dans les menus principaux.

GS Mag : Conseilleriez-vous Score PCDA à d’autres entreprises ?

Cédric Sapart : Je conseillerais certainement l’outil Score PDCA pour les sociétés qui sont occupées à confectionner leur plan de continuité ou qui souhaitent le revoir en profondeur.

GS Mag : Pourquoi acceptez-vous de témoigner sur votre expérience et plus particulièrement sur notre solution ?

Cédric Sapart : Parce que la solution présentée mérite d’être davantage connue et, au plus elle compte d’utilisateurs, au plus elle pourra continuer à être développée pour le bien de tous les clients.


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