L’impact négatif potentiel pour les entités qui sont exposées est élevé et tous les utilisateurs de VMWare ESXIi sont fortement encouragés à prendre des mesures rapides.

La majorité des entités touchées sont réparties en Europe. Les spéculations se poursuivent quant à l’identité des acteurs malveillants dans cette affaire, des liens étroits avec la Russie ont été suggérés, mais la bonne nouvelle est qu’il existe un correctif actif pour la vulnérabilité.

Après avoir effectué une analyse de la plateforme Armis, nous avons créé une recherche très facile à entreprendre, permettant aux clients de savoir en quelques minutes quel est leur risque d’exposition à cette vulnérabilité.

Après avoir identifié votre exposition, les entreprises concernées peuvent soit mettre à niveau leur version du service VMWare et/ou mettre en œuvre le correctif recommandé.

Doit-on s’étonner quand nous savons qu’un tiers (33 %) des entreprises mondiales ne prennent pas la menace de la cyberguerre au sérieux ? Elles déclarent être indifférentes ou peu inquiètes de l’impact de la cyberguerre sur l’entreprise dans son ensemble, et cela laisse la place à des failles de sécurité, d’après les résultats d’une récente étude Armis sur la cybersécurité, menée auprès de 6 021 professionnels IT et de sécurité dans des entreprises de plus de cent salariés au Royaume-Uni, aux États-Unis, en Espagne, au Portugal, en France, en Italie, en Allemagne, en Autriche, en Suisse, en Australie, à Singapour, au Japon, aux Pays-Bas et au Danemark.