Rechercher
Contactez-nous Suivez-nous sur Twitter En francais English Language
 











Abonnez-vous gratuitement à notre NEWSLETTER

Newsletter FR

Newsletter EN

Vulnérabilités

Se désabonner

99% des logiciels malveillants utilisés pendant moins d’une minute : une réactivité accrue devient nécessaire face à la cybercriminalité

janvier 2017 par BT et KPMG

Alors que 99% des logiciels malveillants sont utilisés pendant moins d’une minute, les entreprises doivent être aussi agiles et rapides que les pirates informatiques mais de nombreux facteurs viennent entravés et freinés leur réaction.
Ainsi, 49% des entreprises interrogées dans le cadre de l’étude « Passer à l’offensive – Travailler ensemble pour contrer la cybercriminalité » réalisée par BT et KPMG déclarent que leur marge de manœuvre est limitée par des contraintes réglementaires.

Alors que 45% d’entre elles déclarent ne pas disposer des compétences et des collaborateurs nécessaires, 46% se disent freinées par une trop grande dépendance vis-à-vis des systèmes existants. 38% des entreprises font référence à la présence de processus trop rigides au sein de leur organisation.
Toutes les entreprises saisissent l’importance de devoir réagir rapidement, mais, en témoigne l’étude « Passer à l’offensive », nombreux sont les obstacles à surmonter pour y parvenir. En effet, seulement 9% des entreprises interrogées indiquent n’avoir rencontré aucune difficulté particulière.

Pour favoriser une réactivité optimale, il est possible pour les entreprises de prendre diverses mesures :
 Donner la possibilité ainsi que les moyens aux équipes en charge de la cybersécurité d’agir de façon flexible et rapide face aux menaces.
 Travailler aux côtés de leurs principaux clients et partenaires pour s’exercer à réagir à un incident grave. En cas d’attaque, la coopération de tous est primordiale ; en collaborant étroitement avec eux de cette façon, les entreprises instaurent confiance et transparence.
 Les entreprises peuvent se préparer au pire en s’entraînant à réagir à une cyberattaque et en veillant à développer la « mémoire musculaire ». Cette approche peut aider à réagir rapidement en cernant la façon dont un incident peut se dérouler et la solution qui peut être mise en place pour y répondre.
 Prendre en compte le rôle des compagnies de cyber assurance, dont la contribution peut aider à limiter l’impact financier et à bénéficier de l’expertise de spécialistes en cas de besoin. Aucune entreprise ne possède en interne toutes les compétences dont elle a besoin en cas d’attaque.


Voir les articles précédents

    

Voir les articles suivants