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Roberto Casetta, Vice-Président EMEA de FrontRange : Surmonter les défis de la virtualisation grâce à l’automatisation

janvier 2015 par

Une étude récente du cabinet Deloitte* révèle que 71% des DSI prévoient de poursuivre leurs investissements pour supporter les nouveaux besoins informatiques dans les 12 à 18 mois à venir, et que 41% souhaitent un modèle informatique plus agile.

Les évolutions des technologies et des besoins des entreprises créent de nouveaux défis pour les responsables informatiques. Au-delà des problématiques liées à la mobilité, la complexité croissante des infrastructures remet en question certains schémas. Elle pousse les DSI à réévaluer les processus de gestion du cycle de vie des applications existantes, et pose la question de la réversibilité notamment avec des environnements, virtuels et sur site, qui cohabitent dans le système sans être nécessairement optimisés et compatibles.

Roberto Casetta, Vice-Président EMEA de FrontRange émet les commentaires suivants :

« Avec l’augmentation des ressources au sein des différents environnements, les responsables informatiques doivent gérer des infrastructures de plus en plus complexes, et les organisations ne disposent souvent pas de solutions ni d’équipements adaptés aux environnements mixtes. Cela pose problème dans la gestion plus globale des services. Que les périphériques soient installés localement ou accessibles à distance, l’adoption croissante des technologies virtuelles introduit de nouveaux défis :

La multiplication des machines virtuelles indépendantes rend plus complexes les processus des mises à jour et ralentit la productivité. Pour éviter cela, des outils d’automatisation adaptés à la virtualisation permettent aux équipes informatiques de gérer les ressources prenant en compte les licences virtuelles et les interdépendances de configuration - c’est-à-dire les rapports de gestion entre les machines. Cela simplifie le provisioning, les résolutions de problèmes et le support administratif quotidien des machines virtuelles. En outre, l’identification et le suivi automatisé de l’ensemble des machines présentes dans l’infrastructure permettra de déterminer leur niveau d’activité, et de supprimer toute instance inutile afin d’éviter l’encombrement.

La migration des utilisateurs finaux d’un environnement physique à un environnement virtuel, ou vers de nouvelles versions de systèmes d’exploitation, peut également s’avérer compliquée. Les applications nécessitent d’être compatibles avec le nouvel environnement et les liens de dépendances doivent être adaptés afin que le fonctionnement soit optimal. De plus, les employés doivent être accompagnés dans le cadre de cette migration afin de prévenir des risques de perte de productivité par méconnaissance du nouvel environnement, comme dans le cas d’une migration de Windows XP vers Windows 7 ou 10 par exemple. Les données sont dans un premier temps transférées automatiquement vers le nouvel environnement, virtuel ou physique ; les applications sont ensuite configurées de manière adéquate et alignées avec les standards prédéfinis par l’entreprise et déjà existante dans l’ancien environnement. L’automatisation joue ici encore un rôle essentiel pour faciliter la transition des utilisateurs vers de nouveaux environnements.

Enfin, les organisations sont confrontées à des problèmes de standardisation des logiciels. Elles rencontrent souvent des difficultés dans les renouvellements et mises à jour, notamment à cause de l’utilisateur final qui gère lui-même ses applications professionnelles. Les services informatiques n’ont pas la main sur les mises à jour de ces applications, ce qui génère de nombreux conflits et incompatibilités logicielles, pouvant entraîner des ralentissements du système et des baisses de performance. Afin de pallier ce problème, le support informatique met en place un système de cartographie des applications et des liens de dépendances pour identifier clairement les installations. Cette visibilité sur l’ensemble des applications permet ensuite de standardiser leur mise à jour afin d’éviter tout risque de décalage et d’incompatibilité entre ces applications et leurs environnements sur du long terme. Une surveillance automatique permanente permet d’intervenir rapidement en cas de problème.

Ces processus simples permettent aux équipes informatiques de réduire la complexité des infrastructures et de réagir de manière plus proactive aux changements. Ainsi, afin de garantir à la fois une cohérence, une conformité et de simplifier les tâches administratives, les services informatiques ont tout intérêt d’envisager l’automatisation de leurs processus et la gestion centralisée des infrastructures de leur organisation. »


* "The Deloitte CIO Survey 2014 - CIOs : At the tech-junction" : étude conduite en 2014 auprès de 900 DSI dans 49 pays.


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