Rechercher
Contactez-nous Suivez-nous sur Twitter En francais English Language
 











Abonnez-vous gratuitement à notre NEWSLETTER

Newsletter FR

Newsletter EN

Vulnérabilités

Se désabonner

PandaLabs : Palmarès des virus de l’année 2012

janvier 2013 par PandaLabs

Une fois de plus, PandaLabs, le laboratoire antimalware de Panda Security, clôt l’année avec une rétrospective des virus marquants des douze derniers mois. Cette année, ce n’est pas tâche facile avec plus de 24 millions de nouvelles souches de codes malveillants apparues en 2012.

Comme d’habitude, nous ne listons pas les menaces les plus répandues ou celles qui ont causé le plus d’infections. Ce sont simplement des virus qui, pour une raison ou pour une autre, ont attiré l’attention de nos experts cette année.

Voici notre sélection de virus pour l’année écoulée :

Hauts les mains, vous êtes cernés ! Tel pourrait être le cri de guerre du virus Police, le code malveillant qui a causé le plus de maux de tête aux particuliers et aux entreprises en 2012. Ce malware se fait passer pour les forces de police et bloque l’ordinateur, prétendant que l’utilisateur s’est rendu coupable de téléchargements illégaux. Les victimes sont invitées à payer une amende à ces faux policiers pour pouvoir récupérer leur système. Pour effrayer davantage, les versions les plus récentes de ces menaces incluent des photos de l’utilisateur prises avec sa webcam.

007 : Le logiciel espion de l’année est sans aucun doute Flame, un proche parent du fameux Stuxnet. Il s’agit d’une des cyber-armes les plus puissantes créées à ce jour et elle concentre ses attaques principalement sur les pays du Moyen Orient. Il ne reste plus qu’à lui commander une Vodka Martini, au shaker pas à la cuillère.

L’alternatif : Cette appellation va comme un gant à Flashback, un bot qui navigue à contre-courant en dédaignant les systèmes Windows pour s’attaquer plutôt à la plateforme Apple et ses milliers d’utilisateurs dans le monde. Depuis son apparition, les utilisateurs de Mac ne dorment plus sur leurs deux oreilles comme avant.

Le roi de l’Olympe : Il s’agit sans conteste de Zeus, un cheval de Troie spécialisé dans le vol d’informations bancaires. Cette famille de logiciels malveillants, connue depuis longtemps, continue à faire parler d’elle. Cette année, de nouvelles variantes se sont fait remarquer en infectant non seulement les ordinateurs mais aussi les smartphones Android, Blackberry et
Symbian. Leur objectif : mettre la main sur les informations envoyées par téléphone par les banques à leurs clients comme mesure de sécurité complémentaire.

Pinocchio : Bien que son nez ne s’allonge pas, Koobface est sans doute le code malveillant le plus menteur de l’année. En 2012, il n’a cessé de répandre mensonges sur mensonges sur les réseaux sociaux afin d’infecter les utilisateurs. Dans une de ses attaques, il a prétendu que le président Obama avait donné un coup de poing à une personne qui l’avait insulté. La plus grande prudence est requise face à toutes les nouvelles sensationnelles sur les réseaux sociaux car il s’agit d’un des moyens favoris des cyber-criminels pour vous faire cliquer sur des liens malveillants.

Le mineur : BlackHole Exploit kit était le kit de création de malware le plus populaire l’année passée. Il exploite de nombreuses failles de sécurité pour installer des menaces et utilise toutes sortes d’exploits, visant notamment Java et Adobe.

Le copieur : Quel est le secret de la réussite ? Copier ceux qui ont réussi ! Et c’est précisément ce que fait DarkAngle , un faux antivirus qui se fait passer pour Panda CloudAntivirus . Il profite de la notoriété de l’antivirus cloud gratuit de Panda Security pour tenter d’infecter autant de PC que possible.
Le bot unique : Comme sorti de la trilogie de l’anneau de Tolkien, Ainslot.L est un bot conçu pour gouverner tous les autres. Lorsqu’il infecte un PC, le bot Ainslot.L scanne le système et supprime tout autre bot qu’il trouve. Un cas de concurrence déloyale ?

Vous avez un message : Mais il n’est pas de Meg Ryan ou de Tom Hanks… Il s’agit de Kuluoz, un ver qui signale de prétendus achats sur Internet pour infecter les ordinateurs. Le ver se propage dans un email semblant provenir de FedEx et invitant le destinataire à récupérer un colis.


Voir les articles précédents

    

Voir les articles suivants