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PADOK obtient la certification Hébergeur de Données de Santé (HDS)

avril 2022 par Marc Jacob

Padok continue son accélération pour se positionner en tant qu’acteur du Cloud en France. La startup, spécialiste des enjeux d’infrastructure, de Cloud et de cybersécurité, vise 9 M€ de chiffre d’affaires 4 ans après sa création. Elle annonce aujourd’hui avoir obtenu, de la part de BSI Group, les certifications HDS de niveau 3,4,5,6 (hébergeur de données de santé) et ISO27001. Cette certification obtenue en seulement 6 mois (contre deux ans en moyenne) a mobilisé plus de 10 personnes en interne. Seules 206 entreprises dans le monde disposent de cette certification, Padok, startup française est donc la 207 ème.

La startup Padok peut désormais mener la stratégie Cloud des entreprises du domaine de la santé (Mutuelles, hôpitaux, groupes pharmaceutiques), de la construction des plateformes Cloud à leur administration 24h/24 7j/7. La dynamique est déjà enclenchée puisque Padok est en discussion avancée avec des instituts de recherche et des grands groupes pharmaceutiques. Padok apporte son expertise et excellence technique aux équipes tech de ses clients qu’elle accompagne dans le cadre de leur transformation numérique, projet d’infrastructure et de migration vers le Cloud, le tout avec un fort accent mis sur la sécurité bien évidemment.

Agile, technique et innovant, Padok veut répondre aux besoins Tech/IT des acteurs de la santé.

Forte de cette certification, Padok entend ainsi s’impliquer auprès des leaders de la santé pour leur permettre d’innover et délivrer plus rapidement des produits/services de santé tout en maîtrisant les réglementations et la qualité. À leurs côtés, Padok devient un partenaire premium, de confiance pour les aider à devenir les leaders MedTech et HealthTech de demain.

Le cabinet Frost & Sullivan a estimé à 234,5 milliards de dollars la valeur du marché mondial de la santé numérique d’ici 2023 (source Bpi france). Toujours selon le rapport de ce cabinet, les données produites chaque année par le secteur médical au niveau mondial devraient voir leur volume multiplié par 10 en 5 ans. Par exemple, en 2020, il se mesurait en dizaines de zettabits.

À l’image d’ALAN, la célèbre mutuelle et licorne française, Padok entend apporter sur ce marché la transparence, l’agilité et la pédagogie qui lui font encore défaut. Comme pour le choix d’une mutuelle, nous savons qu’il faut y souscrire mais nous ne savons jamais vraiment ce qu’elle couvre réellement. Padok veut en finir avec l’opacité du monde HDS, permettre aux entreprises qui ont besoin d’un infogéreur HDS de leur simplifier l’usage et limiter les coûts.

Confiance et sécurité : la santé et ses données, un marché porteur, de nouveaux besoins à héberger

La technologie ne cesse d’évoluer et le secteur de la santé est un des premiers concernés. L’avènement des technologies (IA, big data, cloud computing, deep et machine learning), l’arrivée de nouveaux entrants dans le domaine de la santé, sans négliger les risques associés (ex : cyberattaques) ont rebattu les cartes de ce secteur.

La crise sanitaire que nous venons de traverser, le projet EHDS (Espace européen des données de santé) que porte la France à l’occasion de la présidence de l’Union européenne, ou bien encore l’arrivée, face aux acteurs traditionnels, de nouveaux entrants (GAFAM, startup de l’e-santé, collecteurs, transporteurs, hébergeurs de données de santé) démontrent tout l’intérêt que les entités publiques et privées portent sur la santé et les données associées. Cet écosystème entier participe également à la création de valeur autour de ce type de données.

Ces données aiguisent d’ailleurs l’appétit d’autres acteurs, plus malveillants, tels que les cybercriminels. L’actualité est là pour nous le rappeler, l’Assurance Maladie et son site Améli en ayant fait les frais récemment après s’être fait pirater et subtiliser les données administratives de plus de 500 000 français. Autre exemple, comme le révélait en fin d’année dernière l’Agence du numérique de santé lors de son colloque en novembre 2021, elle avait déjà dénombré plus de 349 incidents de sécurité, dont 47 cyberattaques par ransomwares réussies. Donnant même le coût associé à cet acte de cyber malveillance qui a coûté 335 000 euros au centre hospitalier d’Arles attaqué durant l’été 2021.


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