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Olivier Melwig, Juniper Networks France : Les RSSI doivent penser Software Defined Security !

septembre 2016 par Marc Jacob

Pour sa nouvelle participation aux Assises de la Sécurité, Juniper Networks France souhaite mettre l’accent sur la nécessité de passer au-delà de la sécurité périmétrique qui aujourd’hui n’est plus suffisante. Pour Olivier Melwig, Directeur Technique Opérateurs et Entreprises, Juniper Networks France le métier de RSSI a changé avec l’avènement de la virtualisation et de la mobilité. Les RSSI doivent penser Software Defined Security !

Global Security Mag : Qu’allez-vous présenter à l’occasion des Assises de la Sécurité ?

Olivier Melwig : Nous voulons cette année vraiment interpeler les RSSI sur le fait que la sécurité périmétrique traditionnelle n’est plus suffisante, bien que de plus en plus performante pour l’espace utilisé. Les attaques viennent de partout, voire elles sont déjà dormantes dans les serveurs et ne demandent qu’à se réveiller pour fuiter des données de l’intérieur… nous voulons que s’opère un véritable changement de mentalité en trouvant le moyen de mieux détecter ces nouvelles cyberattaques rapidement et renforcer les outils de défense en place sans ajouter de la complexité au réseau !
Nous présenterons donc aux RSSI comment mettre en place notre modèle d’architecture SDSN (Software Defined Secure Networks) pour sécuriser leur réseau de manière globale et non seulement sur un périmètre défini.

GS Mag : Quelle va être le thème de votre conférence cette année ?

Olivier Melwig : La sécurité périmétrique ne suffit plus. La détection des attaques et leurs contre-mesures doivent pouvoir être faites sur le maximum d’actifs réseaux, Juniper ou non, physiques ou virtuels. L’atelier décrira comment adapter et automatiser les politiques de sécurité SRX face aux nouvelles menaces APT et dynamiquement les appliquer à la fois sur les pare-feux physiques et virtuels, mais aussi sur les briques de routage et de commutation du réseau des entreprises. Nous présenterons également notre nouvelle brique de sécurité conteneurisée Docker® (cSRX) et les nouvelles performances du vSRX 100Gbps.
Lien vers atelier : https://www.lesassisesdelasecurite.com/Programme/Ateliers-et-tables-rondes

GS Mag : Quelles sont les grandes tendances du marché de la sécurité dans votre domaine ?

Olivier Melwig : Nous adressons principalement trois grandes tendances du marché avec nos solutions : la sophistication de plus en plus « professionnelle » des cyberattaques, la transformation numérique des entreprises vers le Cloud quelle que soit sa forme et enfin, la mobilité associée à la prolifération des terminaux et l’internet des objets.

GS Mag : Comment va évoluer votre offre pour 2016/2017 ?

Olivier Melwig : Nous allons bien entendu sortir de nouvelles plateformes et cartes plus performantes qui prennent de moins en moins d’espace, mais aussi poursuivre nos développements dans la virtualisation et le SDN avec notamment une version de pare-feu SRX conteneurisée et la sortie d’un contrôleur capable d’automatiser et déployer nos politiques de défense sur tous les actifs réseaux en plus des pare-feux physiques et virtuels.

GS Mag : Quelle sera votre stratégie commerciale pour 2016/2017 ?

Olivier Melwig : Nous cherchons toujours à accompagner nos clients le plus tôt possible dans leur réflexion d’évolution en matière de sécurité des réseaux. Nous avons développé de nouveaux équipements cette année pour y répondre et démontrons par la même occasion aux analystes du marché que Juniper continue d’investir et innover dans le domaine de la sécurité. Nos ingénieurs travaillent d’ailleurs cette année et probablement une partie de 2017 sur notre logiciel Junos afin d’apporter beaucoup plus de vélocité dans son évolution de fonctionnalités en le détachant le plus possible de la partie système.

GS Mag : Quel est votre message aux RSSI ?

Olivier Melwig : Pensez Software Defined Security : le métier de RSSI a changé avec l’avènement de la virtualisation et de la mobilité. Il faut que la sécurité s’adapte à ces nouveaux modèles réseau en contrôlant toute la chaîne, du simple switch physique de connexion au conteneur virtualisé dans un serveur, grâce à l’automatisation des politiques de sécurité déployées.


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