Avec Public Cloud, les développeurs et en particulier les développeurs opérationnels (« dévops ») disposent d’un nombre illimité d’instances qu’ils démarrent, clonent et éteignent à volonté, sans qu’aucune formalité supplémentaire ne leur soit demandée. Ils peuvent créer à l’infini des environnements spécifiques à chacun de leurs projets, l’infrastructure s’adapte instantanément à l’activité de leurs applications.

Selon leurs préférences, les utilisateurs peuvent manager leur service de trois manières différentes : via des scripts à l’aide d’une interface de programmation (API) ; à la souris dans leur interface client ; ou encore avec des lignes de commande. Ils se concentrent ainsi sur leur métier et non plus sur l’administration système.

Quant au système de facturation, il a été simplifié au maximum : le client paie à l’heure uniquement les ressources qu’il utilise. Le trafic, la quantité de requêtes et le nombre d’entrées/sorties (I/O) ne sont pas pris en compte.

Public Cloud bénéficie des infrastructures d’OVH à laquelle 400 000 clients professionnels font confiance. Le réseau en fibre optique de 900 Gbps couvre 31 points de présence sur trois continents.

Public Cloud va rapidement proposer en plus des instances, des briques de stockage, de bases de données, de répartiteurs de charge et de solutions e-mail afin de permettre une gestion compl…ète et simplifiée pour toute application.