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Luis Gisbert Lobo, SeMarket : Le doigt, la voix et le visage pour une sécurité optimale

juin 2008 par Marc Jacob

SeMarket est une spin off de l’Université Polytechnique de Barcelone. Cette société, créée en 1999, se présente comme le spécialiste espagnol de la biométrie. Cette entreprise, dont le siège historique se trouve à Barcelone, est déjà implantée à Madrid, au Luxembourg et prochainement au Chili. Pour Luis Gisbert Lobo, Directeur du marketing de SeMarket, le point fort de sa technologie est d’utiliser de concert la reconnaissance de l’empreinte, de la voix et du visage afin d’obtenir un haut niveau de sécurité.

GS Mag : Pouvez-vous nous présenter votre entreprise ?

Luis Gisbert Lobo : Notre entreprise, spin off de l’Université Polytechnique de Barcelone, a été fondée en 1999. Nous sommes actuellement une soixantaine de personnes réparties à Barcelone, où se trouve notre siège, Madrid, au Luxembourg et d’ici un mois au Chili, où nous allons ouvrir une agence commerciale. Nous sommes spécialisés dans le domaine de la biométrie. Notre point fort réside dans notre technologie qui utilise trois facteurs de reconnaissance biométrique : l’empreinte, la voix et le visage. Nous avons aussi une solution de signature digitale dont la diffusion est basée sur un système d’utilisation réelle des signatures. En fait, les entreprises ne paient que pour l’utilisation du produit. Cette solution a été réalisée en coopération avec Safelayer qui est un provider espagnol spécialisé dans l’ID.

GS Mag : Comment se porte le marché espagnol de la biométrie ?

Luis Gisbert Lobo : Le marché de la biométrie est en croissance. Il y a de plus en plus d’intérêt tant dans les administrations publiques que dans les entreprises privées. Nous travaillons actuellement sur des projets de déploiement dans différents ministères comme celui de la Défense. Par ailleurs, nous avons été sélectionnés par le CWID, une émanation du ministère de la Défense, pour notre solution de contrôle d’accès associée à une carte à puce qui utilise de la RFID.

GS Mag : Quelle est votre stratégie marketing ?

Luis Gisbert Lobo :Nous travaillons avec des partenaires locaux comme SUN, ou l’intégrateur Indra qui est un des leaders en Espagne. De la même manière, nous avons des partenaires dans plusieurs pays d’Europe. Par contre, nous ne sommes pas encore implantés en France, mais nous pensons arriver sur ce marché dans le courant de l’année 2009.

GS Mag : Que présentez-vous à l’occasion de cette édition ?

Luis Gisbert Lobo : Nous présentons toute notre gamme de produits mais avec un focus particulier sur le contrôle d’accès physique et logique.

Ainsi, les visiteurs peuvent avoir des démonstrations de BioSelogOn qui permet de contrôler en une seule fois l’empreinte digitale, la voix et le visage. Toutes ces données contenues sur une simple carte à puce. Cette vérification est quasi instantanée car elle ne prend que 5 secondes. Ce système est compatible avec Windows 2000 et XP.

Nous montrons aussi BioCloser Advanced, un système biométrique multimodal qui fonctionne de même sur la reconnaissance de la voix, l’empreinte digitale et le visage. Il est associé à une carte à puce basée sur une technologie RFID. Cela permet des gains de temps lors des phases d’authentification tout en conservant une sécurité optimale.

Enfin, nous présentons BioWorkControl, un système de contrôle d’accès qui est associé de la reconnaissance d’empreinte digitale à une carte à puce RFID et un code. Ce produit est adapté à la gestion du temps de travail, il peut être interfacé avec des fichiers Excel, Access, ou des bases RH comme SAP, Oracle, SQL, Meta4…

Ce produit, comme toutes nos solutions, est totalement paramétrable et peut fonctionner en utilisant l’un ou l’autre des fonctions de contrôle d’accès ou toutes les trois selon la politique de sécurité de l’entreprise.

GS Mag : Quel est votre avis sur cette édition d’Infosecurity Iberia ?

Luis Gisbert Lobo : Cette année, il me semble qu’il y a plus de visiteurs que l’an dernier ce qui est normal puisque le salon est concentré sur deux jours au lieu de trois. Par contre, il manque plusieurs acteurs majeurs du domaine de la sécurité…


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