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Les marques françaises doivent toujours avoir une longueur d’avance dans le monde numérique

mai 2013 par NetNames

NetNames invite les entreprises françaises à sérieusement revoir leur politique de protection des marques afin de rester concurrentielles sur les marchés actuels.

NetNames estime que le piratage en ligne représente actuellement 24% du trafic Internet mondial, que les coûts engendrés par le cybersquatting s’élèvent à plus de 725.000 euros par marque et par an, et qu’une page Web sur 28 présente des atteintes aux marques.

Bien que la plupart des entreprises aient pris conscience du potentiel offert par l’Internet, NetNames constate que beaucoup d’entre elles ne prennent pas suffisamment en compte les risques auxquels leurs marques sont exposées. Afin de contrer la montée en puissance du piratage numérique, du cybersquatting et de la contrefaçon, les entreprises doivent adopter l’approche préventive « Search Find Stop », c’est-à-dire chercher, trouver, et stopper toutes les formes d’atteinte. Pour cela il faut identifier la typologie des menaces, définir des mesures préventives et prévoir des actions appropriées pour faire respecter leurs droits sur Internet le cas échéant.

La mise en place d’un certificat de sécurité SSL (Secure Sockets Layer) est dans la majorité des cas une première étape indispensable pour sécuriser un site Internet. Cet outil permet en effet aux internautes de s’assurer de l’authenticité du site Web sur lequel ils surfent, et aide les entreprises à détecter les virus et les logiciels malveillants avant qu’ils ne causent de réels dommages. La mise œuvre d’une stratégie de noms de domaine intégrant les fautes de frappe les plus courantes commissent par les internautes permet en outre de les rediriger automatiquement vers la bonne page Web tout en limitant le risque de cybersquatting.

Simon Jackson, Directeur Commercial chez NetNames, souligne combien il est nécessaire de protéger les marques en ligne : « Sur Internet, le consommateur traque les bonnes affaires et n’hésite pas à sacrifier la qualité pour obtenir un produit à prix réduit. Ce comportement profite notamment aux contrefacteurs, cybersquatteurs et aux pirates numériques, dont les méfaits augmentent à un rythme effarant. Par ailleurs, le consommateur moyen possède désormais plusieurs appareils numériques, tous reliés à Internet pour accéder aux produits et services en ligne qu’il utilise quotidiennement. La conséquence de cette évolution est que le nombre et la sophistication des attaques informatiques auxquels le consommateur et les marques sont exposés a considérablement augmenté ».

Simon Jackson poursuit : « 98% des marques qui travaillent avec NetNames ont vraiment pris conscience du nombre d’atteintes auxquelles elles sont exposées quotidiennement. Aujourd’hui, les entreprises doivent être avant-gardistes dans leur approche afin de protéger leur marque en ligne et leurs revenus. Le visage de la nouvelle criminalité numérique est bien souvent invisible. Les entreprises doivent prendre des précautions afin de s’assurer qu’elles ne soient pas prises pour cible. Le piratage numérique, le cybersquatting et la contrefaçon peuvent ruiner la réputation d’une entreprise et entraîner des pertes financières considérables. Aussi, la protection des actifs numériques doit être intégrée à toute stratégie de développement sur Internet. C’est la condition sine qua non pour que l’entreprise conserve une longueur d’avance sur ses concurrents et sur les cybercriminels ».


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