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Le multi-Cloud et les services applicatifs émergents, moteurs de la transformation numérique en EMEA

janvier 2018 par F5

F5 Networks annonce les résultats de son rapport State of Application Delivery 2018 (SOAD). Unique en son genre, ce rapport mondial, qui en est à sa quatrième édition annuelle, démontre comment l’importance croissante des déploiements multi-Clouds aide actuellement les entreprises de la région EMEA à mieux optimiser leurs applications, automatiser leurs processus et mener à bien leur transformation numérique. Il met également en lumière les défis opérationnels et de sécurité les plus récents qu’implique ce tournant.

Parmi les principaux chiffres qui ressortent de l’édition 2018 :
 Les principales attentes liées aux efforts de transformation numérique sont l’optimisation informatique (69% des répondants), l’avantage concurrentiel (59%) et l’optimisation des processus métiers.
 Le multi-Cloud est la nouvelle norme pour 75 % des répondants qui font désormais appel à plusieurs prestataires de services Cloud pour trouver la meilleure approche pour chacune de leurs applications. Le multi-Cloud est également source de nouvelles contraintes au niveau sécurité.
 Les entreprises de la région EMEA utilisent 15 services applicatifs distincts pour garantir la rapidité, la sécurité et la disponibilité de leurs applications.
 La sécurité reste perçue comme le service applicatif le plus important pour 44 % des répondants en EMEA (39 % au niveau mondial). Les services de passerelle commencent à être vus comme indispensables. Les plus utilisés en EMEA concernant l’Internet des objets (34 %), les technologies SDN (32 %), les API (32 %) et HTTP/2 (28 %).
 72 % des répondants utilisent l’automatisation pour rationaliser leur infrastructure informatique dans le but de réduire leurs coûts d’exploitation et 48 % cherchent à faire évoluer leurs systèmes pour répondre à la demande.

La transformation numérique, levier de nouvelles architectures et initiatives d’optimisation informatique

Selon le rapport SOAD 2018, en EMEA, l’optimisation informatique est le principal avantage attendu des efforts que les répondants consacrent à la transformation numérique (69 % des réponses). L’avantage concurrentiel qu’elle confère figure en deuxième position avec 59 % de réponses, suivi de près par l’optimisation des processus métier avec 46 %. La concrétisation de ces avantages implique l’utilisation coordonnée du Cloud, de nouvelles architectures applicatives et d’outils d’automatisation informatique.

Plus de la moitié (57 %) des personnes interrogées indiquent utiliser des outils d’automatisation et d’orchestration informatiques en raison de la transformation numérique de leur entreprise. Près de la moitié (48 %) des participants passent actuellement à un modèle de déploiement applicatif basé sur le Cloud public et 48 % modifient aujourd’hui la façon dont ils développent ce type d’applications. 43 % des personnes interrogées affirment que leur transformation numérique les incite à étudier de nouvelles architectures applicatives impliquant la mise en œuvre de conteneurs et de microservices.

Les défis du multi-Cloud

Selon le rapport SOAD 2018, 54 % des personnes interrogées choisissent au cas par cas la meilleure approche Cloud pour chacune de leurs applications, ce qui entraîne une légère hausse des environnements multi-Clouds, avec 75 % des répondants affirmant faire appel à plusieurs prestataires de services Cloud.

Comme toujours, la sécurité reste une préoccupation majeure pour le Cloud. En EMEA, la mise en place de règles de sécurité cohérentes pour l’ensemble des applications d’une entreprise est considérée comme étant l’aspect « le plus complexe ou frustrant » de la gestion des environnements multi-Clouds (42 %). 39 % des participants pensent que le défi le plus important consiste à protéger leurs applications des menaces existantes et émergentes. Le rapport SOAD 2018 conclut ainsi que l’ensemble de ces constats a entraîné une hausse du nombre d’entreprises déployant des pare-feu pour applications Web (WAF), 61 % d’entre elles utilisant aujourd’hui cette technologie pour protéger leurs applications.

« Les environnements multi-Clouds offrent de nombreux avantages en termes de rapidité, d’évolutivité et de flexibilité. Toutefois ils font émerger de nouveaux défis comprenant entre autres, la mise en place d’un niveau homogène de sécurité dans les différents Clouds, la protection des applications contre un large spectre de menaces et l’obtention d’une visibilité sur la santé des applications », explique Patrick Berdugo.

Les services applicatifs, les bases pour l’avenir

En moyenne, le rapport SOAD révèle que les entreprises de la région EMEA utilisent 15 services applicatifs distincts pour garantir la rapidité, la sécurité et la disponibilité de leurs applications.

La sécurité est encore aujourd’hui perçue comme le service applicatif le plus important en EMEA (avec 44 % des réponses contre 39 % dans le monde). Il est intéressant de noter qu’à mesure que les organisations informatiques se préparent à entrer dans l’économie numérique, les services de passerelle commencent à être vus comme indispensables. Les plus utilisés en EMEA concernant l’Internet des objets (34 %), les technologies SDN (32 %), les API (32 %) et HTTP/2 (28 %).

Parmi les principaux défis associés à la sécurité des services applicatifs figurent la sophistication croissance des attaques (42 %), la tendance qu’ont les employés à sous-estimer les conséquences du non-respect des règles de sécurité (41 %), la complexité grandissante des solutions de sécurité (29 %), la sécurité des applications mobiles (35 %) et le manque de compétences en sécurité informatique (28 %).

Automatisation et orchestration à plein régime

Dans la région EMEA, les départements informatiques intègrent aujourd’hui programmabilité et harmonisation à leurs environnements d’automatisation et d’orchestration. Trois personnes interrogées sur quatre (75 %) déclarent que l’utilisation de l’automatisation dans le cadre de l’exploitation de leur infrastructure informatique est « quelque peu » ou « très » importante. Une majorité des participants (72 %) utilisent actuellement l’automatisation pour rationaliser leur infrastructure informatique dans le but de réduire leurs coûts d’exploitation, tandis que près de la moitié d’entre eux (48 %) cherchent à faire évoluer leurs systèmes pour répondre à la demande.

« Devant les pressions croissantes des équipes de développement et des équipes opérationnelles, et grâce à l’utilisation de plus en plus répandue de conteneurs et à l’adoption du Cloud, l’informatique traditionnelle s’appuie aujourd’hui de plus en plus sur la programmabilité pour mettre en œuvre l’automatisation et l’orchestration dont elle a besoin pour réussir », ajoute Patrick Berdugo. « Les entreprises qui cherchent à optimiser leur infrastructure informatique grâce à l’automatisation et à l’orchestration ont toutefois besoin d’harmoniser leurs systèmes avant d’aller de l’avant. »


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