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La moitié des entreprises a déployé Kubernetes en production et un quart entre elles ne veut plus que ça

juin 2021 par Canonical

Canonical présente les résultats de son premier rapport sur l’utilisation des technologies natives du cloud et de Kubernetes. L’enquête montre la nature multidimensionnelle du paysage technologique cloud natif d’aujourd’hui, et révèle que si 45,6 % des répondants utilisent Kubernetes en production, seuls 15,7 % l’utilisent exclusivement. Si près de 30 % des répondants exécutent leurs applications sur un mélange de bare metal, de machines virtuelles (VM) et de Kubernetes, la tendance semble indiquer qu’ils souhaitent évoluer vers Kubernetes. 15,3 % des personnes interrogées qui utilisent principalement des VM ont déjà un plan pour migrer complètement vers Kubernetes, et 13,1 % sont en train d’étudier cette possibilité.

Près de 78 % des personnes interrogées ont par ailleurs déclaré avoir au moins un cas d’utilisation hybride ou multicloud en production dans leur organisation. Ce chiffre est probablement plus élevé que celui indiqué lorsque les équipes considèrent les services SAAS ou les services gérés par des tiers, c’est-à-dire ceux qui vont au-delà de ce qu’elles gèrent directement elles-mêmes. Alors que l’adoption de l’hybride et du multicloud continue de croître, de nouveaux défis apparaissent, en particulier autour de la gestion de l’étalement des diverses technologies bare metal, VM et Kubernetes, selon l’enquête. Les opérations seraient le prochain grand défi pour les entreprises cherchant à automatiser la gestion des applications plutôt que celle des configurations. À cette fin, près de 30 % d’entre elles planifient de tester les opérateurs Kubernetes, 17 % les expérimentent déjà et 14 % les utilisent en production. Voici les autres conclusions clés du rapport :

– Les principaux utilisateurs de Kubernetes et des technologies natives du cloud sont les ingénieurs SRE/DevOps, suivis des architectes d’infrastructure, des développeurs back-end et des développeurs full-stack.

– Les objectifs les plus importants que cherchent à atteindre les entreprises avec Kubernetes et les technologies natives du cloud sont l’amélioration de la maintenance, de la surveillance et de l’automatisation (cités par 64,6 % des utilisateurs), la modernisation de l’infrastructure (46,4 %) et l’accélération de la mise sur le marché (26,5 %).

– Les cas d’utilisation les plus courants pour les clouds hybrides et multiples sont l’accélération du développement et l’automatisation accrue (20,7 % des répondants), l’élargissement des options de sauvegarde dans le cloud pour réduire les coûts (13,3 %), la reprise après sinistre (12,6 %) et la mise en cluster des bases de données critiques (5,5 %).

– Parmi les principaux freins à l’adoption de Kubernetes, 54,5 % des répondants citent le manque de compétences internes. Viennent ensuite la structure informatique de l’entreprise (37,3 %), l’incompatibilité avec les systèmes existants (32,6 %), la difficulté de former les utilisateurs (29,7 %), les problèmes de sécurité et de conformité (24,7 %) et l’intégration des applications natives du cloud (19 %).

« ?Le rapport équivaut à un instantané saisissant de la façon dont les technologies natives du cloud et les communautés qui les entourent se développent et apportent une valeur commerciale, et où il y a encore de la place pour la croissance ? », a déclaré David Booth, vice-président Cloud Native Applications de Canonical.

Le rapport Kubernetes and Cloud Native Operations, qui est toujours ouvert à la participation, a interrogé jusqu’à présent 1 200 professionnels de l’informatique dans le monde sur plus de 40 sujets concernant leur utilisation de Kubernetes, du bare metal, des VM, des conteneurs et des applications serverless.

Le rapport comprend également des informations fournies par des experts d’Amazon, de Google, de la Cloud Native Computing Foundation, de WeaveWorks, de Cloudbees et de HCL Technologies, que Canonical a réuni pour évaluer les résultats.


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