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La SPEIG (Groupe Colas) s’appuie sur POM Monitoring pour la supervision de ses infrastructures réseaux et applications de gestion Groupe

janvier 2014 par Marc Jacob

Exosec, éditeur de solutions de pilotage de la
qualité de service du système d’information, annonce que la SPEIG, filiale
informatique du Groupe Colas, a déployé POM Monitoring pour surveiller l’état de ses
infrastructures réseaux et des serveurs hébergeant les applications de gestion
utilisées par plus de 2 000 établissements ou sites. Les indicateurs de supervision
sont consolidés au sein d’un hyperviseur, ce qui permet aux équipes de la SPEIG de
disposer d’une vision globale de la disponibilité et des performances du SI par
entité, application ou service métier.

Colas : leader mondial de la construction de routes
Colas est un des leaders mondiaux de la construction et de l’entretien des routes,
et de toute autre forme d’infrastructures de transport (aérien, ferroviaire,
maritime). Implanté dans 50 pays sur les cinq continents, à travers un réseau de 800
établissements travaux et 1 400 sites de production de matériaux, le Groupe
rassemble 63 000 collaborateurs, dont près de la moitié hors de France
métropolitaine, et réalise environ 100 000 chantiers par an. En 2012, le chiffre
d’affaires consolidé de Colas a atteint 13 milliards d’euros, dont 44% a été réalisé
à l’international.

Le Groupe Colas s’appuie sur sa filiale, la SPEIG (Société Parisienne d’Études
Informatique de Gestion), pour gérer les systèmes d’information du groupe et de ses
filiales : infrastructures, systèmes, réseaux, applications métiers ou support, etc.
Une solution qui permet à Colas de disposer d’un « point d’entrée informatique »
unique pour toutes ses entités, mais également d’homogénéiser et de mettre à la
disposition des utilisateurs des solutions transverses, partout dans le monde.

La supervision des infrastructures réseaux et des applications Groupe
Les infrastructures réseaux, qui supportent les échanges entre le siège social et
les différents établissements ou sites, tout comme les solutions de gestion
(comptabilité, facturation et paie) utilisées par toutes les entités, comptent parmi
les composants du système d’information les plus critiques du Groupe Colas. A ce
titre, leur disponibilité et leurs performances sont supervisées depuis longtemps :
« nous avions précédemment fait le choix de BMC Patrol, explique Radoine Belhachmi,
administrateur de supervision à la SPEIG. Mais avec le temps, la version que nous
avions retenue au départ ne correspondait plus à nos besoins. »

En 2011, la décision de procéder à son remplacement, pour superviser plus de 30
routeurs répartis dans le monde ainsi que les 17 serveurs Unix hébergeant les
applications groupe, est prise. Pour la SPEIG, l’enjeu est double : identifier une
solution moins complexe, et suffisamment souple pour s’adapter aux besoins du Groupe
Colas, tout en étant capable de s’interfacer avec l’hyperviseur pour la
centralisation des données de supervision. « Après quelques tests avec Nagios, nous
avons rapidement identifié POM Monitoring. Nous avons été séduits par sa simplicité
de mise en œuvre, grâce à sa gestion des éléments à superviser par fichier tableur.
Et nous avons très vite constaté que la solution pourrait être adaptée à nos besoins
spécifiques. », indique Radoine Belhachmi.

POM Monitoring, brique d’une supervision globale, centralisée et évolutive
Après un inventaire précis de l’ensemble des éléments à superviser, POM Monitoring
est déployée et mise en production, en à peine 6 mois. Très vite, les premiers
résultats se font sentir, avec la correction de l’un des principaux défauts de
l’ancienne solution : la remontée récurrente de faux-positifs. « Avec POM
Monitoring, nous avons gagné en crédibilité : désormais quand un problème est
signalé, c’est qu’il existe réellement », commente Radoine Belhachmi. En outre, les
équipes en charge de l’exploitation des infrastructures réseaux et serveurs ont
gagné en productivité : la précision des données remontées leur permet d’identifier
plus rapidement les problèmes, de les corriger elles-mêmes ou de transmettre à
d’autres équipes afin qu’elles prennent en charge leur résolution.

Après quelques mois d’utilisation, la SPEIG a enclenché la seconde partie du projet,
à savoir l’intégration des données issues de POM Monitoring à l’hyperviseur, qui
centralise les informations de toutes les applications de supervision présentes dans
le groupe ou ses filiales : SCOM pour les applications métiers hébergées sur des
serveurs Windows, et divers outils de supervision transactionnelle utilisés en
local. « L’interfaçage a été simple, souligne Radoine Belhachmi : nous nous sommes
appuyés sur Syslog, en option native dans POM Monitoring. »

A l’aide des informations fournies par POM Monitoring, l’hyperviseur peut alors
proposer des reporting précis et complets ainsi que des vues techniques ou
fonctionnelles (selon leur destinataire) croisées, sur la disponibilité et les
performances des applications ou services métiers.

Pour la SPEIG, l’utilisation de POM Monitoring n’est pas figée, et connaît des
évolutions permanentes. Dernièrement, à la demande des DBA, des composants tels que
les tablespaces des bases de données ont été mis sous supervision. Le périmètre
initial du projet a également été étendu aux applications WebLogic du groupe. A
l’avenir, il est envisagé de coupler POM Monitoring avec un système de mesure de la
qualité perçue des applications critiques du point de vue de l’utilisateur final. « 
Nous faisons évoluer la supervision en permanence, pour qu’elle s’adapte aux
évolutions du système d’information, qui vit et se transforme constamment », conclut
Radoine Belhachmi.


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