Rechercher
Contactez-nous Suivez-nous sur Twitter En francais English Language
 











Abonnez-vous gratuitement à notre NEWSLETTER

Newsletter FR

Newsletter EN

Vulnérabilités

Se désabonner

L’application est plus que jamais le moteur de l’économie mondiale et de la transformation numérique

février 2020 par F5

Selon une nouvelle étude de F5 Networks, l’économie florissante des applications entraîne une accélération sans précédent de la transformation numérique dans la région EMEA.

Lori MacVittie, ambassadrice technologique à la Direction Technique de F5 Networks affirme que « les applications sont le moteur de l’économie mondiale ». C’est également ce que démontre le dernier rapport State Of Application Services (SOAS) de F5 Networks.

Les entreprises entament la 2ème phase de la transformation numérique
Selon le rapport SOAS, cette deuxième phase de la transformation numérique se caractérise par une augmentation du nombre d’applications et une automatisation accrue.

« Toutes les entreprises, quel que soit le secteur d’activité, axent leur activité sur les applications afin d’être plus réactives, de gagner en efficacité, et de fournir à leurs clients et à leurs utilisateurs les expériences optimisées attendues par le marché » explique Arnaud Lemaire, Directeur Technique de F5 France.

À cet égard, le rapport SOAS indique que :

o 66 % des entreprises interrogées en Europe (et Moyen-Orient, et Afrique) dépendent des applications pour mener à bien leurs activités. C’est le pourcentage le plus élevé de toutes les régions du monde.
o Près d’une de ces entreprises sur trois (32 %) estime que les applications offrent un avantage concurrentiel stratégique.
o 57 % des entreprises pensent qu’elle influence le recours à l’automatisation et à l’orchestration partout où cela est possible, tandis que 51 % ont envie d’explorer de nouvelles architectures applicatives, comme la conteneurisation et les microservices.
o 38 % expriment que la transformation numérique change leur façon de développer des applications, et 33% qu’elle a favorisé la migration d’un plus grand nombre d’applications vers le Cloud public.
o En outre, 31 % opèrent un remaniement des applications existantes pour les adapter aux environnements modernes, et 26 % prévoient d’adopter autant de technologies Open Source que possible.

« À mesure que les initiatives numériques gagnent en maturité, les entreprises cherchent à combiner des services numériques provenant de secteurs ou de segments auparavant sans rapport les uns avec les autres pour former de nouveaux écosystèmes et créer de la valeur », ajoute Arnaud Lemaire.

Cette tendance entraîne une envolée du volume d’appels d’API, 29 % des entreprises de la région EMEA enregistrant plus d’un million d’appels d’API par mois.

Pour optimiser les ambitions en matière de transformation numérique, le rapport SOAS préconise de se concentrer en premier lieu sur les services applicatifs nécessaires à la sécurité, au redimensionnement et à la numérisation des processus informatiques et métiers. L’automatisation et l’orchestration sont essentielles à ce stade.

Au cours de la 2ème phase, il est indispensable d’instrumenter les services applicatifs pour obtenir des données de télémétrie offrant une visibilité et un contrôle unifiés sur l’application des stratégies.

Lors de la 3ème phase, des outils analytiques dans le Cloud pourront examiner la télémétrie des services applicatifs afin de fournir des informations opérationnelles et métiers exploitables (prévision des besoins en capacité, prévention des pertes et expérience client différenciée).

Lori MacVittie explique : « On commence déjà à voir des entreprises de la région EMEA franchir la première phase de la transformation numérique, c’est-à-dire l’automatisation des processus métiers, et augmenter leur empreinte numérique grâce au Cloud, à l’automatisation et aux conteneurs. De nouveaux écosystèmes sont créés et les volumes d’appels d’API grimpent en flèche. À l’avenir, les entreprises capables d’exploiter les données des applications et des API, et d’y réagir, en retireront des avantages conséquents ».

La transformation numérique avance plus rapidement en Europe que dans les autres régions du monde

Selon le SOAS de F5 : 91 % des entreprises interrogées dans la région EMEA ont mis en place des projets spécifiques de transformation numérique. Ce pourcentage s’élève à 84 % aux États-Unis, et à 82 % dans la région Asie-Pacifique, Chine et Japon (APCJ).

La principale raison qui pousse les entreprises de la région EMEA à adopter la transformation numérique (61 % des personnes interrogées) est d’accélérer le lancement de nouveaux produits ou services, puis la capacité à mieux s’adapter et répondre aux comportements des nouveaux acheteurs (40 %) et aux concurrents émergents (33 %).

Parmi les premiers avantages attendus de la transformation numérique pour les entreprises : l’optimisation de l’informatique (64 %) et des processus métiers (55 %). Ces résultats corroborent ceux de l’année dernière. Ils montrent que les entreprises informatiques continuent à réévaluer leurs structures, processus et workflows pour passer à la prochaine étape de leur transition. Autres grandes attentes vis-à-vis de la transformation numérique : une meilleure productivité des employés (47 %), un plus grand avantage concurrentiel (45 %) et l’accès à de nouveaux marchés (43 %).


Voir les articles précédents

    

Voir les articles suivants