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Kaspersky ouvre son premier centre de transparence en Afrique

novembre 2023 par Marc Jacob

Dans le cadre du Africa Cyberdefense Forum (ACDF), Kaspersky annonce l’ouverture de son premier centre de transparence dans la région africaine. Celui-ci, installé à Kigali, au Rwanda, ouvre ses portes dans le cadre de l’initiative globale de Kaspersky en matière de transparence, mise en place pour souligner la fiabilité des solutions de l’entreprise et plaider en faveur d’une plus grande transparence dans l’industrie de la cybersécurité en général. Le nouveau centre offre à ses visiteurs un aperçu complet des pratiques de Kaspersky en matière d’ingénierie et de traitement des données, ainsi qu’une démonstration en direct du code source de ses produits et services.

Le pourcentage d’accès à Internet dans la région africaine n’a cessé d’augmenter ces dernières années : selon la Banque mondiale, l’accès à l’internet à haut débit en Afrique est passé de 26 % en 2019 à 36 % en 2022. Comme le prévoit la stratégie de transformation numérique de l’Union africaine, tous les Africains devraient jouir de l’autonomie numérique d’ici 2030, ce qui implique que la numérisation du continent est en voie d’intensification, apportant dans son sillage des opportunités et des défis.

Le nouveau centre de transparence de Kigali est à la disposition des partenaires et des clients de Kaspersky, ainsi que des autorités en charge de la cybersécurité. Il est conçu pour proposer l’option d’examen « piste bleue », une option qui a gagné en popularité parmi les visiteurs des centres de transparence depuis l’ouverture de la première infrastructure en 2018. Ce parcours donne un aperçu des pratiques d’ingénierie et de gestion des données de Kaspersky : tout au long de leur visite, les partenaires et les clients sont invités à poser aux experts de Kaspersky toutes les questions relatives aux procédures de traitement des données de l’entreprise et au fonctionnement de ses solutions. Ce parcours peut aussi permettre aux visiteurs d’améliorer ou d’acquérir des compétences pour évaluer la sécurité des produits TIC utilisés par leurs organisations, en découvrant les grands axes du programme de renforcement des capacités cyber de Kaspersky destiné aux organisations gouvernementales, aux universités et aux entreprises.

Mettant en exergue le lien étroit entre la transparence et la lutte contre la cybercriminalité, ainsi que l’engagement de Kaspersky en faveur de ces deux causes, l’ouverture du nouveau Centre de transparence a été saluée par l’agence africaine de police criminelle (AFRIPOL) :

« La région africaine connaît actuellement une transformation numérique rapide, avec une pénétration d’Internet qui ne cesse de croître d’année en année. Pour contrer les risques potentiels de sécurité découlant de l’utilisation des technologies, il est impératif de comprendre ce qui constitue un cadre efficace pour atténuer les risques. Aujourd’hui, alors que Kaspersky annonce l’ouverture de son premier centre de transparence en Afrique, nous saluons l’ouverture de l’entreprise ainsi que son initiative de transparence globale, qui doit servir d’exemple pour les organisations de la région en termes de renforcement de la confiance numérique. Kaspersky a fait ses preuves en matière de collaboration avec les services de police locaux, régionaux et internationaux pour lutter contre la cybercriminalité, en partageant son expertise technique dans un esprit de transparence », a déclaré l’ambassadeur Jalel Chelba, directeur exécutif par intérim d’AFRIPOL.

Avec l’ouverture de ce centre dans la région, Kaspersky étend son réseau à un total de 11 centres de transparence répartis entre l’Europe, l’Asie-Pacifique, l’Amérique du Nord et l’Amérique latine, le Moyen-Orient et l’Afrique.

Genie Sugene Gan, responsable des affaires et de la politique publiques pour les régions Asie-Pacifique, Japon, Moyen-Orient, Turquie et Afrique chez Kaspersky, a présenté cette nouvelle étape de l’initiative globale pour la transparence lors de son discours d’ouverture à l’ACDF :

« L’importance croissante accordée à la cybersécurité dans le programme panafricain suscite l’intérêt des autorités nationales. Toutefois, il subsiste une lacune importante dans le renforcement des capacités cyber. En ouvrant ce Centre de transparence, Kaspersky entend répondre aux besoins du marché local, en proposant une formation dans des domaines aussi essentiels que l’évaluation de la sécurité des produits et la mise en place de processus de développement sécurisés. Cette inauguration marque une étape importante pour notre organisation et un progrès décisif pour la région, à laquelle nous apportons des compétences essentielles en matière de renforcement des moyens et les meilleures pratiques en matière de cybersécurité. »

Défenseur engagé pour la transparence dans l’industrie de la cybersécurité, Kaspersky a lancé son Initiative globale pour la transparence en 2017, devenant ainsi un pionnier dans le renforcement de la confiance numérique. L’initiative réaffirme la volonté de l’entreprise de divulguer le fonctionnement de Kaspersky, les normes qu’elle met en œuvre, les performances de ses solutions et les raisons pour lesquelles elles sont dignes de confiance. Kaspersky implique activement la communauté au sens large dans la validation et la vérification de la fiabilité de ses produits, de ses processus internes et de l’ensemble de ses opérations commerciales. Dans le cadre de l’initiative globale de transparence, l’entreprise est le premier fournisseur de cybersécurité à divulguer son code source en vue d’un examen externe.


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