Rechercher
Contactez-nous Suivez-nous sur Twitter En francais English Language
 











Abonnez-vous gratuitement à notre NEWSLETTER

Newsletter FR

Newsletter EN

Vulnérabilités

Se désabonner

Etude mondiale sur la cybermenace : 76% des entreprises s’attendent à subir une attaque informatique dans les 12 prochains mois

avril 2022 par Trend Micro

Trend Micro Incorporated publie les résultats de son étude mondiale Cyber Risk Index (CRI), qui fait état des attaques subies par les entreprises et de leur capacité à y faire face au cours du second semestre 2021.

Les données publiées dans cette dernière version du Cyber Risk Index (CRI) de Trend Micro sont calculées par le Ponemon Institute en mesurant l’écart entre le niveau de préparation des entreprises en matière de sécurité et les probabilités qu’elles ont de se faire attaquer.

Ainsi, trois entreprises sur quatre s’attendent à être la cible d’une attaque dans les 12 prochains mois et un quart évalue même ce risque comme étant ‘très probable’.

« Pour élaborer une stratégie de cybersécurité efficace, les organisations doivent être en mesure d’évaluer et identifier les risques auxquelles elles peuvent être confrontées », souligne Nicolas Arpagian - Director Cybersecurity Strategy de Trend Micro. Dans ce contexte, le CRI met en évidence les principales préoccupations des entreprises en matière de cybersécurité : les menaces liées au télétravail et la transformation numérique sont plus que jamais d’actualité. Dès lors, les entreprises ont tout intérêt pour gagner en lisibilité, et donc en efficacité, à centraliser leurs outils de sécurité ».

Un indice mondial toujours à un niveau élevé (-0,04)

Le CRI s’appuie sur une échelle numérique de -10 à 10, -10 représentant le niveau de risque d’attaque le plus élevé. L’indice mondial actuel est de -0,04, ce qui représente un risque « élevé ». Le marqueur le plus important se situe aux États-Unis (-0,18) où les entreprises sont confrontées à un indice de cybermenaces plus fort que dans d’autres pays du monde.

Les organisations sont conscientes de ce niveau de risque : 84 % d’entre elles affirment avoir été visées par une ou plusieurs attaques au cours des 12 derniers mois et plus d’un tiers (35%) reconnait en avoir subi au moins sept au cours de la même période.

Quelles sont les menaces que les entreprises craignent le plus ?

Les rançongiciels, l’hameçonnage, l’ingénierie sociale et les attaques par déni de service (DDoS) figurent parmi les menaces préoccupant le plus les organisations, tout comme les lourdes conséquences que de telles intrusions pourraient engendrer (vol, dommages des équipements, coûts associés, perte de clients…).

Les entreprises sont particulièrement soucieuses des impacts d’une potentielle attaque sur leur infrastructure informatique. Elles s’inquiètent surtout de la sécurité des collaborateurs en situation de mobilité ou travaillant à distance, du Cloud et des applications tierces. Un tel constat met en évidence le défi permanent que bon nombre d’entre elles doivent relever pour pérenniser les choix numériques réalisés pendant la pandémie : des investissements essentiels destinés à soutenir le travail à distance, accroître l’efficacité et l’agilité de l’entreprise et in fine couvrir l’étendue de ces nouvelles surfaces d’attaque.

« Les entreprises sont chaque jour confrontées à des défis de sécurité exigeants, qu’il s’agisse de vulnérabilités logicielles, de violations de données ou de rançongiciels », explique le Dr Larry Ponemon, CEO du Ponemon Institute. « Le CRI de Trend Micro est un véritable atout pour mesurer l’évolution des risques et des surfaces d’attaques. Il permet aux entreprises de renforcer leur niveau de sécurité et sert de guide à leur planification stratégique. »

Le Cyber Risk Index (CRI) met en exergue le niveau de préparation des entreprises en matière de sécurité. Parmi les défis majeurs auxquelles elles sont confrontées, on trouve :
• la prise en charge de la sécurité des environnements DevOps,
• les limites de l’autorité des Responsables cybersécurité et les ressources encore trop limitées pour mettre en place un dispositif de sécurité optimal,
• les trop nombreux cas de non-conformité aux politiques de sécurité, aux procédures opérationnelles standard et aux exigences externes.

Ces résultats illustrent la nécessité d’allouer davantage de ressources aux équipes, aux processus et aux technologies pour améliorer le niveau de préparation des entreprises aux menaces et réduire le niveau de risque de façon globale.


Voir les articles précédents

    

Voir les articles suivants