Rechercher
Contactez-nous Suivez-nous sur Twitter En francais English Language
 











Abonnez-vous gratuitement à notre NEWSLETTER

Newsletter FR

Newsletter EN

Vulnérabilités

Se désabonner

Etude IDC/Dimension Data : Seules 14 % des entreprises estiment que leur infrastructure est prête pour la transformation numérique

février 2017 par IDC/Dimension Data

D’après l’étude IDC réalisée pour le compte de Dimension Data, examinant l’impact de l’optimisation de l’informatique sur la transformation numérique, seules 14 % des entreprises estiment que leur infrastructure est prête pour la transformation numérique. En effet, la majorité des entreprises ayant participé à l’enquête indiquent que la supervision et l’optimisation de leur informatique manquent toujours de cohérence.

Selon cette étude, seules 20 % des entreprises affirment avoir pleinement automatisé et optimisé leur infrastructure, alors que la majorité d’entre elles sont en voie d’automatisation mais n’ont pas atteint leur objectif.

• 9 % des entreprises n’ont procédé à aucune automatisation
• 13 % ont opéré une automatisation limitée
• 32 % présentent un degré moyen d’automatisation et d’orchestration
• 25 % offrent un haut niveau d’automatisation

Laurent Heurtin, Directeur des Services de Dimension Data France, souligne que l’étude met en lumière le caractère essentiel de l’automatisation pour l’optimisation de l’informatique « Les entreprises avisées dans ce domaine sont conscientes que si elles ne s’efforcent pas de gagner en efficacité aujourd’hui, elles pourraient manquer les principales opportunités de marché à l’avenir. Les compétences de Dimension Data en matière d’automatisation et d’orchestration simplifient davantage de processus et d’activités métiers pour nos clients. Ceux-ci ont besoin de moins de ressources et peuvent ainsi consacrer plus de temps au maintien de leur compétitivité, à l’innovation dans de nouvelles sources de valeur, à l’engagement avec leurs propres clients sur les canaux de leur choix et à l’exploitation de leurs données pour l’optimisation de leurs opérations. »

Tandis que les entreprises sont conscientes de la nécessité de faire évoluer leur informatique dans une direction plus stratégique et moins tactique, la plupart des équipes internes d’informaticiens et de développeurs peinent encore à y faire face. En effet, les informaticiens consacrent 30 % de leur temps à de nouvelles demandes de services et à la résolution des problèmes, et seulement 15 % à l’innovation. Cela représente un recul de 25 % en un an, alors même que la demande allant dans le sens de l’amélioration de l’engagement clients, l’adoption de l’Internet des objets (IoT), l’exploitation du Big Data et l’analytique des données rend l’innovation informatique indispensable au sein des entreprises.

Le message est clair : les entreprises qui ne font pas évoluer leurs modèles informatiques risquent de manquer de futures opportunités de marché.

Depuis une dizaine d’années, la technologie ne cesse d’engendrer des gains d’efficacité, qu’il s’agisse de réaliser des économies, de redéployer la main-d’œuvre, de rationaliser les opérations ou de satisfaire les attentes des actionnaires. Cependant, avec l’essor du numérique, l’efficacité n’est plus suffisante en soi. L’informatique doit faciliter la mise en œuvre de nouveaux projets numériques et fournir en permanence une infrastructure à haute disponibilité répondant aux demandes des utilisateurs. Cela passe par une optimisation constante de l’informatique, aboutissant à une amélioration des engagements de niveau de service (SLA), à des gains accrus d’efficacité et à une infrastructure plus performante tout en réduisant au minimum les risques d’interruption d’activité. Or la libération de ressources pour l’innovation demeure un défi.

Laurent Heurtin explique le retard informatique des entreprises en partie par des raisons liées aux budgets, à l’expérience et aux compétences : « Le succès de la transformation numérique nécessite la combinaison adéquate d’équipes, de processus et d’outils. Cependant, les plates-formes d’automatisation des services informatiques sont coûteuses et longues à développer et à intégrer dans des environnements informatiques hybrides. »


Voir les articles précédents

    

Voir les articles suivants