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Etude Check Point - Institut Ponemon : Utilisation des applications Web 2.0, les salariés français ignorent les consignent de sécurité

septembre 2010 par Check Point® Software et le Ponemon Institute

Check Point® Software et le Ponemon Institute, un cabinet spécialisé dans le domaine de la gestion et la protection des données, publient les résultats d’une étude internationale sur la Sécurité sur le Web 2.0 en milieu professionnel. Selon cette étude, les réseaux sociaux et les applications Web 2.0 constituent une menace de sécurité pour l’entreprise selon 74% des organisations françaises interrogées. Les administrateurs de la sécurité informatique citent en premier lieu les virus, la baisse de la productivité, la perte de données et les logiciels malveillants comme les principaux risques liés à l’utilisation du Web 2.0 en entreprise. Pas moins de 81% d’entre eux envisagent de déployer une solution ciblée au cours des cinq prochaines années.

Selon l’enquête, menée en France auprès de 400 administrateurs de la sécurité informatique, la majorité des personnes interrogées considère que c’est au personnel des ressources humaines, des services informatiques et aux administrateurs de la sécurité qu’il revient de gérer les risques de sécurité liés à l’utilisation des applications Web 2.0 en entreprise. 52% des répondants considèrent que les utilisateurs ne tiennent pas ou peu compte des risques informatiques lors de leurs échanges professionnels de tous les jours, lorsqu’ils naviguent sur le Web en entreprise, téléchargent des applications, lorsqu’ils ouvrent des liens ou s’aventurent sur des sites de réseaux sociaux. Bien qu’ils offrent une pléthore d’avantages pour les entreprises, les applications du Web 2.0, et les sites tels que Facebook, Twitter, YouTube, les sites de partage de fichiers (peer-to-peer) et autres, constituent néanmoins un vecteur d’attaques pour le moins redoutable pour les entreprises, et jouissent d’une popularité croissante auprès des pirates.

Autres résultats de l’enquête :

· Une préoccupation secondaire - Malgré la forte montée des menaces sur le Web 2.0, les répondants en France se montrent relativement moins préoccupés par la sécurité du Web 2.0, que leurs homologues aux États-Unis, Royaume-Uni, au Japon ou Australie. Seulement 25% des professionnels français interrogés considèrent la sécurité sur le Web 2.0 comme une forte priorité, contre 65% aux Etats-Unis, 69% au Japon, et 43% en Australie et Grande-Bretagne.

· Une responsabilité limitée de l’utilisateur - La majorité des personnes sondées en France estime qu’il revient avant tout aux services du personnel, aux agents informatiques (DSI) et aux responsables de la sécurité (DSSI) de contrôler les risques du Web 2.0 sur la sécurité dans l’entreprise, et non pas aux employés qui les utilisent, ni aux services juridiques de l’entreprise. Leurs homologues aux Etats-Unis, en Australie et Grande-Bretagne pour la plupart considèrent que ce sont au contraire les employés qui devraient être tenus responsables de préserver la sécurité informatique de leur entreprise lors de leur utilisation du Web 2.0.

· Les principaux ennemis – les virus informatiques, la baisse de la productivité au travail et les logiciels malveillants sont cités comme les principales préoccupations relatives à l’utilisation des applications Web 2.0 dans les entreprises françaises. Parmi les autres problèmes cités figurent aussi la perte de données, la saturation de la bande passante, les botnets et les injections SQL.

· Un manque global de conscience sécuritaire – Près de 52% des personnes interrogées aux États-Unis considère que leurs employés prennent rarement ou jamais en compte les questions de sécurité lors de l’utilisation de réseaux sociaux et applications Web 2.0 dans leurs communications professionnelles. Ce chiffre atteint 49% au Royaume-Uni et 48% en Australie.

« Cette enquête révèle un certain décalage dans les organisations françaises entre d’une part le personnel d’entreprise, qui souhaite continuer de profiter des outils Web 2.0, et d’autre part les administrateurs informatiques chargés de garantir la sécurité du réseau et la bonne application des politiques de sécurité » déclare David Darmon directeur général France de Check Point Software. « Souvent les administrateurs manquent de visibilité et n’ont pas les moyens de gérer la sécurité des multiples applications du Web 2.0 déployées sur le réseau. Or mettre en œuvre une solution de sécurité flexible capable d’administrer les outils du Web 2.0 exige davantage de visibilité, ainsi qu’une plus large sensibilisation des utilisateurs et un contrôle granulaire des applications. Il s’agit à la fois d’un défi technologique et d’une question d’éducation des employés. »

Check Point a longtemps protégé les entreprises contre les menaces émergentes. Aujourd’hui, Check Point lance sa nouvelle lame logicielle Contrôle des applications. Basée sur son architecture software blade, cette solution permet aux sociétés de sécuriser et gérer l’utilisation de milliers d’applications Web 2.0 dans l’entreprise. A travers sa technologie novatrice UserCheck,les employés participent au processus de prise de décision, permettant aux administrateurs informatiques d’adapter l’utilisation des applications en fonction de leurs besoins commerciaux spécifiques. La nouvelle lame tire également parti de Check Point AppWiki, la plus grande base de données au monde de classification des applications, qui permet d’examiner plus de 50.000 widgets Web 2.0 et plus de 4.500 applications Internet. Pour de plus amples informations : http://www.checkpoint.com/products/softwareblades/application-control.html.

Cette étude sur la sécurité du Web 2.0 en milieu de travail a été réalisée indépendamment par le Ponemon Institute en avril 2010, auprès 400 administrateurs en France et plus de 2.100 administrateurs de la sécurité informatique au total, situés aux États-Unis, Royaume-Uni, France, Japon et Australie. L’échantillon de l’enquête représente un large éventail d’organisations de toutes tailles - des petites et moyennes entreprises aux grandes entreprises - et tous secteurs économiques, y compris du secteur financier, industriel, gouvernemental, de la grande distribution, de la santé et de l’éducation.

« Les menaces informatiques provenant des applications Web 2.0 s’intensifient tant dans leur fréquence que dans leur complexité. Il est important que les entreprises françaises reconnaissent le problème pour en faire l’une de leurs priorités, à l’instar de leurs homologues américains ou britanniques. Seuls une sensibilisation accrue des utilisateurs et un meilleur contrôle des applications réalisé par le biais d’une solution performante, permettra aux employés de continuer à bénéficier des outils du Web 2.0 sans pour autant compromettre la sécurité de leur entreprise. Aujourd’hui Check Point offre aux entreprises une approche pratique pour le contrôle des applications qui permet aux employés de continuer àutiliser les outils du Web 2.0, sans pour autant compromettre la sécurité de leur entreprise » conclut David Darmon.


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