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David Dupré, CommonIT : Nous souhaitons ouvrir un bureau au Royaume-Uni
avril 2010 par Marc Jacob
CommonIT est présent pour la seconde fois sur Infosecurity UK. Cette start-up française, créée officiellement en 2010, a de grandes ambitions sur ce marché qui, même en crise, reste l’un des plus dynamiques en Europe. David Dupré, co-fondateur et directeur du marketing, prépare une seconde levée de fonds qui devrait lui permettre d’ouvrir un bureau dans ce pays.
David Dupré et Daniel Fages
GS Mag : C’est la seconde fois que vous participez à Infosecurity UK, pourquoi êtes vous revenu avec votre propre stand ?
David Dupré : Etre présent sur ce salon fait partie de notre stratégie internationale de développement. L’an dernier, nous étions sur le pavillon français, afin de valider notre concept sur le marché britannique et plus largement en rencontrant aussi des visiteurs en provenance de toute l’Europe. Cette année, nous sommes revenus en investissant dans un stand, avec une véritable démarche commerciale. D’ailleurs, nous avons lancé à cette occasion la version 2.0 de notre solution et la version pour iPhone.
Cette année, nous sommes aussi présents afin de valider une nouvelle technologie un peu plus éloignée de la sécurité, qui est une solution de compatibilité entre IE6 et IE7/IE8. En effet, certaines applications ne sont pas compatibles entre IE6 et IE7/IE8. Notre offre est donc destinée aux entreprises qui veulent migrer vers ce nouveau navigateur. Cette solution sortira à la mi-mai 2010. Elle sera commercialisée avec une tarification à l’utilisateur.
GS Mag : Comment trouvez-vous cette édition d’Infosecurity UK ?
David Dupré : Je suis agréablement surpris par la qualité de cette édition. Elle confirme qu’Infosecurity UK est le plus grand salon européen de la sécurité. Nous avons rencontré déjà deux à trois clients avec des projets. Ceci confirme que le marché britannique est intéressé par nos solutions.
GS Mag : Quels sont vos projets sur le marché britannique ?
David Dupré : Nous sommes en discussion avec des investisseurs pour faire une seconde levée de fonds, qui nous permettra d’ouvrir un bureau au Royaume-Uni.
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