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Darktrace commente sur les 57 millions de données piratées d’UBER

novembre 2017 par Darktrace

Suite à dissimulation d’UBER quant aux 57 millions de données piratées en 2016, veuillez trouver le commentaire d’Emily Orton, directrice et co-fondatrice de Darktrace :

« Cette révélation à propos d’Uber soulève la question suivante : combien d’autres entreprises ont payé une rançon pour couvrir une cyber-attaque sans que nous le sachions ? Uber fait partie d’une longue lignée de grandes sociétés avec d’importantes équipes de sécurité et de vastes ressources, aujourd’hui touchée par une violation de données à grande échelle. Il devient de plus en plus clair que la cybersécurité n’est plus un défi que les humains seuls peuvent relever. Avec des réseaux de plus en plus complexes et des menaces de plus en plus sophistiquées, les organisations doivent se doter d’une technologie d’apprentissage automatique pour accompagner l’humain dans cette bataille.

Mais en plus d’adopter ce nouveau type de technologies, il nous faut un changement de culture : blâmer les victimes à grande échelle que nous voyons si souvent après une cyberattaque ne fait qu’encourager les entreprises à essayer de dissimuler les violations. De nouvelles réglementations telles que le GDPR, qui entrera en vigueur en mai prochain, obligent les entreprises à divulguer une violation de données dans les 72 heures ou à faire face à de lourdes pénalités. En dehors de ces pressions croissantes de la part des régulateurs, les entreprises doivent également reconnaître que les menaces sont omniprésentes - aucune organisation n’est invulnérable et blâmer les victimes ne fait que nous distraire de la question principale : comment pouvons-nous défendre nos données personnelles, nos entreprises et nos infrastructures ? »


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