Avec l’essor du cloud, l’externalisation des données nécessite des garanties de sécurité et de qualité de plus en plus renforcées pour assurer la fiabilité et la performance des infrastructures et services mis à la disposition des clients.
La satisfaction des clients étant au cœur de ses préoccupations, DATA4 a entrepris dès 2015 un plan ambitieux de certifications afin de devenir une référence en matière de « bonnes pratiques » reconnues par la profession. En seulement un an, le groupe est parvenu à obtenir sept certifications par Bureau Veritas : cinq sur son principal campus de data centers à Marcoussis, dans le sud de Paris (ISO 9001 : Management de la Qualité ; ISO 14001 : Management de l’Environnement ; OHSAS 18001 : Management de la Santé et sécurité au travail ; ISO 27001 : Management de la Sécurité de l’Information ; ISO 50001 : Management de l’Energie) et deux sur son site de Milan (ISO 9001 ; ISO 27001).
L’étape suivante sera de reconduire et d’harmoniser en 2017 les certifications obtenues en France et en Italie puis d’étendre la démarche d’amélioration continue du groupe à sa plateforme située au Luxembourg.

Attaché à la qualité de son exploitation, DATA4 s’engage auprès de ses clients, partenaires, fournisseurs et de l’ensemble de ses collaborateurs à veiller au respect des exigences légales et règlementaires relatives à son activité, à assurer une continuité de service, à entretenir et développer avec ces différentes parties prenantes une relation de confiance ainsi qu’à améliorer son efficience énergétique tout en limitant l’impact de son métier sur l’environnement. Il est essentiel pour DATA4 de mettre à disposition de ses clients un écosystème sur-mesure qui soit aussi fiable, performant, innovant et responsable.

Conscient de son empreinte énergétique, DATA4 multiplie les actions afin de réduire la facture énergétique et le PUE (Power Usage Effectiveness, soit indicateur d’efficacité énergétique) de ses data centers en misant notamment sur un design moins gourmand en énergie, sur l’innovation et sur la récupération de la chaleur dite « fatale » issue de ses bâtiments, permettant ainsi de chauffer, en France, en partenariat avec l’ADEME et EDF, des serres agricoles biologiques limitrophes de ses installations.