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Citrix : Les grandes entreprises françaises plébiscitent les modes de travail nomades

mars 2012 par Citrix

L’étude Global Workshifting Index commanditée par Citrix et menée auprès de responsables informatiques de grandes entreprises dans 11 pays indique que d’ici fin 2013, 93 % d’entre elles auront mis en place des stratégies de « workshifting ».

En France elles sont 91% à vouloir d’ici fin 2013 permettre leurs salariés de choisir le moment, le lieu et le matériel le plus approprié pour effectuer leur travail. Un engouement qui tombe à point nommé (le 29 février dernier, l’Assemblée nationale a adopté la proposition loi qui fait entrer le télétravail dans le code du travail) et qui démontre qu’en matière de mise en place des modes de travail nomades il subsiste un écart important entre les grandes entreprises et les PME (cf. étude Citrix - février 2012 menée auprès de 1 169 employés d’entreprises françaises, incluant 88 % de petites et moyennes entreprises).

Les directions informatiques interrogées confirment que les grandes entreprises françaises ont conscience des avantages des modes de travail nomades pour l’entreprise (gain de productivité à 54%, amélioration de la qualité de service à 41%) et pour ses salariés (travailler n’importe où à 61%). Mais aussi pour elles-mêmes dans la mesure où ces initiatives permettent aux DSI d’accompagner des populations de plus en plus nomades (42% des salariés en entreprise en moyenne), diverses (salariés mais aussi intérimaires, consultants, partenaires, contractuels, etc.) et utilisatrices de terminaux exogènes (pour 39% des entreprises qui déploient une stratégie de workshifting celle-ci est un moyen d’accompagner le phénomène « Bring Your Own Device »).

Toutefois le principal facteur qui pousse les grandes entreprises à s’intéresser au workshifting c’est qu’il est perçu (à 52%) comme un moyen de réduire les coûts de l’entreprise et notamment les dépenses informatiques. En effet, les économies sont possibles grâce à

 la réduction des coûts liés à une meilleure rétention des talents (pour 58% des sondés)

 la rationalisation des coûts de gestion et d’administration du parc informatique (pour 48%)

 la consolidation et la centralisation des serveurs (pour 46%)

 la réduction des coûts immobiliers (42%)

 la réduction des coûts de déplacement et voyage (31%)

« On constate que la consumérisation de l’informatique et l’utilisation généralisée des terminaux mobiles de type tablettes et smartphones dans le cadre personnel et professionnel ne suffisent pas à elles seules à encourager la généralisation du télétravail en France. Il faut aussi prendre en compte le contexte économique et l’attention portée notamment aux dépenses informatiques qui poussent les plus grandes entreprises à opérer des choix organisationnels et technologiques en mesure de favoriser l’acceptation et l’encadrement des modes de travail nomades, » souligne Pascal Ozanne, directeur marketing Europe du Sud chez Citrix.

Parmi ces choix technologiques, la virtualisation de postes de travail s’impose comme la solution privilégiée pour créer un environnement de travail plus flexible. 32% des entreprises interrogées y ont d’ores et déjà recours et 41% l’envisage dans les 12 mois. En outre, les avantages de la virtualisation en termes de sécurité garantissent que les informations confidentielles de la société sont protégées contre tout vol et toute perte, afin de satisfaire aux exigences de confidentialité et de conformité. Entre autres avantages, cette technologie donne également accès à des réunions en ligne et des services de partage de fichiers qui permettent aux équipes de collaborer efficacement, en quelque lieu que se trouvent leurs divers membres.

« La virtualisation de postes rend possible cet engouement pour les nouveaux modes de travail nomades. Et cette technologie se démocratise avec par exemple des solutions comme VDI-in-a-box de Citrix. La voie vers le workshifting ouverte par les grandes entreprises peut donc être désormais suivie par des structures plus petites, » conclut Pascal Ozanne.


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