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Arkeia Software : Cinq conseils pour une sauvegarde de données efficiente en environnements virtuels

septembre 2012 par Arkeia

Avec l’adoption croissante de la virtualisation de serveurs au sein des infrastructures IT de taille moyenne, les administrateurs rencontrent la problématique d’identifier une solution de sauvegarde dont les fonctionnalités permettent une protection efficace de leurs investissements. L’architecture des machines virtuelles (VM) exige des processus de sauvegarde et restauration plus avancés que ceux des architectures de serveurs traditionnels. Cependant, ces processus ne doivent pas être complexes à identifier, configurer et utiliser si les potentielles difficultés ont été bien considérées.

Selon les experts d’Arkeia Software : « Contrairement aux systèmes de sauvegarde traditionnels qui utilisent des agents installés au niveau du système d’exploitation, les solutions de sauvegarde conçues pour la virtualisation doivent comporter des fonctions innovantes spécifiques aux environnements virtualisés : sauvegardes sous forme d’images, sauvegardes de machines virtuelles en mouvement entre hyperviseurs, espace de stockage virtualisé, et support de plusieurs hyperviseurs sur un même réseau. De plus, n’importe quelle solution doit assurer des restaurations sans problèmes ».

Voici cinq conseils pour sélectionner la technologie qui assure à moindre coût une protection des données des environnements virtuels rapide et simple.

1. Jouer la simplicité

Dans les entreprises où les équipes et ressources informatiques sont restreintes, les systèmes de sauvegarde simples à déployer et à utiliser s’imposent. Déployer un serveur de sauvegarde sous forme d’appliance est un bon point de départ. « Installer les meilleures solutions de sauvegarde de VMs nécessite un administrateur pour dupliquer un modèle de système d’exploitation, vérifier la configuration de la mémoire et des processeurs virtuels (vCPUs), relier le serveur au domaine, et enfin installer l’application de sauvegarde, » déclare Howard Marks, fondateur et expert scientifique chez Deep Storage. « Une fois tout cela accompli, il y a un serveur de plus à mettre à jour et à maintenir. » Les récentes appliances clé en main éliminent cette installation fastidieuse, et sont simples à installer et à lancer.

2. L’unité dans la diversité

Les entreprises de taille moyenne sont susceptibles de disposer d’environnements de machines physiques et virtuelles, de plusieurs plateformes virtuelles et d’une variété de systèmes d’exploitation clients. Jusqu’ici, les utilisateurs étaient contraints d’exécuter des applications distinctes pour la protection des données des serveurs physiques et virtuels. Mais aujourd’hui, de plus en plus de systèmes de sauvegarde peuvent réaliser les deux. Il est primordial de garder le contrôle du rythme de migration des environnements physiques vers des environnements virtuels. Il ne faut pas rester dépendant d’une solution de sauvegarde incapable de gérer à la fois des environnements physiques et virtuels. Pour s’adapter à différentes plates-formes de virtualisation, il faut s’assurer que l’appliance virtuelle soit conforme au standard OVMF (Open Virtualization Machine Format), c’est-à-dire une plateforme indépendante, efficace, extensible et au format ouvert pour l’assemblage et la distribution des appliances virtuelles.

3. L’image est primordiale

La sauvegarde sous forme d’image est la meilleure approche pour une protection à la fois performante et fiable des infrastructures virtuelles. En environnement VMware, les sauvegardes sous forme d’images de machines virtuelles en production doit tirer parti de la fonction Changed Block Tracking (CBT) de VMware pour des sauvegardes incrémentales et différentielles et des restaurations rapides. Les utilisateurs d’Hyper-V de Microsoft doivent rechercher des systèmes qui assurent des sauvegardes sous forme d’image via l’API VSS (Volume Shadow Copy Service).

4. La déduplication à tout prix

Sauvegarder des dizaines de machines virtuelles au sein de multiples serveurs physiques implique de capturer régulièrement les mêmes données. La déduplication évite de transférer d’importants volumes de données redondantes d’un disque vers une bande ou vers un espace de stockage sur le cloud, et permet de réduire jusqu’à 95% des volumes des données. La déduplication ne doit pas uniquement fonctionner au sein de multiples machines virtuelles, mais également au sein de multiples hyperviseurs (même si les machines virtuelles utilisent différentes technologies d’hyperviseur), et au sein de plateformes physiques. Il est nécessaire de rechercher un produit de sauvegarde de VM qui inclut la dédupe, et non pas un composant logiciel ou matériel additionnel, afin d’accélérer les sauvegardes et d’en réduire le coût et la complexité grâce à la déduplication à la source.

5. Le temps de restauration

Aussi importantes que soient les sauvegardes de VMs en raison de la nature des architectures virtuelles, les restaurations le sont tout autant. Lors de l’évaluation d’une solution de sauvegarde de VMs, il faut tester les étapes de restauration de données afin de s’assurer qu’elles se déroulent aussi parfaitement que la sauvegarde : sélectionner quelques VMs à restaurer, choisir un temps de restauration, spécifier une destination et lancer la restauration.


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