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Arbor Networks publie les statistiques d’attaques DDoS pour le 1er semestre 2013

août 2013 par Arbor Networks

Arbor Networks Inc. publie
les dernières tendances en matière d’attaques DDoS pour le premier semestre 2013.
Ces statistiques révèlent que ces attaques continuent de représenter une menace
importante à l’échelle mondiale et que leur ampleur, leur fréquence et leur
complexité sont en nette augmentation par rapport à la même période l’an dernier.

« ATLAS nous procure une formidable visibilité de bout en bout sur Internet »,
commente Darren Anstee, architecte en solutions pour Arbor Networks. « Nous
observons quotidiennement une progression dans l’ampleur, la fréquence et la
complexité des attaques DDoS. C’est un vecteur d’attaque de plus en plus populaire.
Avec tous les outils aujourd’hui disponibles il est facile de lancer des attaques ou
d’y participer. »

En hausse

 L’ampleur moyenne des attaques en bits par seconde (bit/s) est en hausse de 43% au
premier semestre : 46,5% des attaques dépassent à présent 1 Gbit/s, soit une
augmentation de 13,5% par rapport à 2012.
 La proportion des attaques comprises entre 2 et 10 Gbit/s a plus que doublé,
passant de 14,78% à 29,8%.
 La proportion des attaques supérieures à 10 Gbit/s a augmenté de 41,6% au premier
semestre.
 Enfin, le nombre total d’attaques enregistrées dépassant 20 Gbit/s a plus que
doublé comparé à l’ensemble de l’année 2012.

En baisse

 La durée des attaques tend à se raccourcir : 86% d’entre elles durent désormais
moins d’une heure.
 La taille des attaques en paquets par seconde (PPS) paraît être en diminution,
inversant ainsi la forte tendance à la hausse observée fin 2011 et tout au long de
2012.

« Le volume croissant des attaques de grande visibilité, mêlant notamment des
attaques à motivation politique, des actes de guerre électronique commandités par
des Etats, des actions militantes, des crimes organisés ou de simples actes de
malveillance sans véritable motif, s’explique par la facilité d’accès des bots ou
botnets, disponibles en location, et des outils d’attaque distribués en
crowdsourcing », souligne Jeff Wilson, analyste principal en sécurité réseau chez
Infonetics Research.


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